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 Près de 70 projets d’observatoires pour «le suivi de l’activité sismique

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MessageSujet: Près de 70 projets d’observatoires pour «le suivi de l’activité sismique   Près de 70 projets d’observatoires pour «le suivi de l’activité sismique I_icon_minitimeDim 22 Mai - 10:36

Pour le suivi de l’activité sismique en Algérie : Près de 70 observatoires en cours de réalisation

Près de 70 projets d’observatoires pour «le suivi de l’activité sismique» sont en cours de réalisation en Algérie, a indiqué hier le directeur général du Centre de recherche en Astronomie, Astrophysique et Géophysique (CRAAG), M. Abdelkrim Yelles.

«Ces projets sont appelés à renfoncer quelque 80 stations similaires actuellement opérationnelles sur le territoire national», a précisé M. Yelles dans son allocution lors d’une journée d’étude et d’information, tenue à Boumerdès à l’occasion du 8e anniversaire du séisme du 21 mai 2003. Il a ajouté que ces investissements participent de la politique de l’Etat visant à «appuyer les efforts du CRAAG, en vue d’une meilleure maîtrise et compréhension de ce phénomène naturel complexe «afin d’en prévenir et réduire autant que possible les dommages matériels et humains». «Les avancées réalisées par le CRAAG, ces dernières années, nous ont permis de relever que ce phénomène (séisme) s’étend particulièrement sur toute la bande de la zone Est-Ouest du pays en passant par le Centre, où il est enregistré près d’une centaine de secousses/jour», a-t-il fait savoir. C’est sur la base de ces «faits scientifiques» que les efforts se concentrent, a encore souligné M. Yelles, en vue de redessiner «le schéma d’aménagement urbain du pays, en l’orientant vers les zones des Hauts plateaux, considérées comme étant loin du périmètre sismique défini plus haut». Il a ajouté que ce souci procède d’une «volonté de faire une économie de frais de constructions onéreux, au niveau des zones classées à risque sismique (de niveau 3), comme c’est la cas du littoral du pays. M. Belazougui Mohamed, directeur général du Centre national du génie sismique (CGS), a fait, pour sa part, un historique des différents séismes ayant frappé l’Algérie, avant de souligner l’impératif de «tirer les leçons qui s’imposent du séisme de mai 2003, et de prendre en compte toutes les données disponibles en la matière dans des cartes sismiques, «afin de ne plus répéter les mêmes erreurs dans nos constructions», a-t-il souhaité.
Il insisté, dans ce sillage, sur l’importance de «responsabiliser l’acte de délivrance du permis de construction à tous les niveaux», parallèlement à l’impératif d’investir dans la réalisation de «constructions durables, solides et sécurisées», car on «ne le répétera jamais assez», a-t-il soutenu.
«Ce n’est pas le séisme qui tue, mais le défaut de qualité des constructions», a-t-il fait observer.
tres bonne chose http://www.horizons-dz.com/la24/22113.html
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MessageSujet: Risques sismiques sur le littoral : Prévenir avant de subir   Près de 70 projets d’observatoires pour «le suivi de l’activité sismique I_icon_minitimeLun 23 Mai - 9:11

La gestion des risques sismiques sur le littoral a été au centre des débats, hier, à l’université de Bab Ezzouar (Alger) à l’occasion d’une journée d’information sur les risques côtiers.

Organisée par le Réseau algérien des sciences de la mer (RASMER), cette rencontre qui coïncide avec la commémoration du 8e anniversaire du violent séisme de Boumerdès a été mise à profit par les scientifiques pour soulever le problème «d’inexistence» de données scientifiques qui sont vitales pour pouvoir construire des infrastructures côtières ou du moins proches du littoral. Les spécialistes de l’exploration du fond marin en Algérie mettent en garde contre la «méconnaissance» sur d’autres risques et dangers qu’encourent nos belles côtes maritimes et attirent l’attention sur l’existence de risques marins autres que le séisme qu’ils appellent par «perturbations maritimes». Ils préconisent à ce propos de faire usage d’équipements et de matériels d’instrument de mesure, notamment les marégraphes qui mesurent le niveau de la mer, ce qui donnera une marge de manœuvre plus importante aux pouvoirs publics pour la réalisation d’infrastructures tels les ports, et soulignent l’impératif d’intégrer cet aléa dans l’aménagement et la conception de toutes les infrastructures sur la côte, assurant que par cette démarche, on peut contribuer à réduire le risque sismique. «On ne doit pas construire n’importe où», avertissent les spécialistes universitaires qui réclament un Système d’information de gestion de risques (SIG).
A ce propos, il semblerait qu’un programme de dotation de toute la bande côtière algérienne de ce type d’appareil est sur le point de connaitre concrétisation, au grand soulagement des scientifiques et autres universitaires experts en la matière. «Dans toutes les catastrophes, la chose la plus importante est de tirer profit des lacunes qui l’ont caractérisées et d’en apprendre les leçons», estime Mokhtar Guerfi, un universitaire spécialiste de la question qui met en avant la nécessité d’une «étroite coordination» entre les scientifiques et les pouvoirs publics. Ces derniers sont appelés en outre à soutenir les réseaux scientifiques et à encourager les compétences universitaires en vue d’élaboration de programmes et autres études scientifiques qui détermineront avec exactitude les risques des catastrophes.
Selon les experts, des travaux géophysique marine mettent en évidence des failles sismiques en milieu marin de notre pays. Et des récentes études relatives aux séismes de Boumerdès de 2003 et de Jijel de 1856 démontrent à cet effet que ces deux catastrophes sont associées à deux tsunamis qui ont affecté respectivement les côtes balnéaires du nord-est algérien (de Béjaia à Annaba). Et cela peut également se reproduire car l’Algérie n’est pas à l’abri de l’effet des autres failles sismiques se trouvant ailleurs en Méditerranée. «Il y a eu par le passé des raz-de-marée importants qui ont affecté nos côtes et des études montrent que bien des régions de notre littoral gardent encore les effets des raz-de marée induits par des séismes», révèlent encore les scientifiques.
S. A. M.

Publié dans : Séïsme
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MessageSujet: Re: Près de 70 projets d’observatoires pour «le suivi de l’activité sismique   Près de 70 projets d’observatoires pour «le suivi de l’activité sismique I_icon_minitimeMar 28 Mai - 10:38

Activités sismiques dans les régions d’Alger et de Béjaïa

CRAAG : rien d’exceptionnel
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Le regain des activités sismiques constaté ces derniers temps dans le nord du pays, notamment à Béjaïa, n’a rien d’anormal, selon les experts du Craag. Les dernières secousses ont fragilisé davantage le vieux bâti à Béjaïa et les habitants attendent une intervention urgente
des autorités.


Béjaïa, Médéa, Djelfa, puis encore Béjaïa. En l’espace d’une semaine seulement, de nombreuses secousses telluriques, de magnitude plus ou moins importantes, ont été ressenties à travers le pays. Entre traumatismes, manque d’information et superstition, la psychose s’est installée au sein de la population.

La crainte d’un séisme de plus grande ampleur revient sur toutes les lèvres. Pourtant, scientifiquement, cette activité «modérée» ne signifie pas la survenue d’un séisme majeur, comme l’explique Mohamed Hamdache, chercheur au Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (Craag). «Il n’y a aucune méthode scientifique qui puisse prédire de l’occurrence d’un séisme à un point ou un autre. De même, de nombreuses secousses modérées ressenties durant une période réduite n’induisent pas automatiquement l’occurrence d’un séisme de plus grande ampleur. D’autant plus que, au vu de l’historique sismique de la région, il n’y a aucun changement quantitatif et qualitatif de l’activité», insiste le chercheur. «Et cela n’a aucun rapport avec les mois de mai ou d’octobre, la nuit ou le jour, l’été ou l’hiver, ou encore la chaleur ou le froid», poursuit-il, rassurant. L’on sait que le nord du pays est classé zone 3, donc particulièrement exposée aux aléas sismiques.

«De prime abord, on constate que cette ‘‘séquence’’ n’est pas concentrée dans une région particulière, comme en atteste la configuration géographique des sites touchés», affirme-t-il. «Cela concerne donc l’ensemble du territoire national et tout particulièrement le nord du pays qui est en bordure de la plaque africaine, qui converge vers la plaque euro-asiatique, provoquant une rupture et le dégagement d’énergie que l’on sait», souligne M. Hamdache. Il est ainsi mensuellement enregistré de 70 à 100 secousses telluriques, dont 80% ne sont pas ressenties par la population, et ce, à raison de «2 ou 3 secousses de magnitude entre 3 et 3,5 degrés quotidiennement», affirme quant à lui Abdelkrim Yellès-Chaouche, directeur du Craag. Ce dernier se veut lui aussi rassurant, en déclarant que l’activité sismique en Algérie n’a rien à voir avec celle enregistrée au Japon ou en Indonésie.

«Les tremblements de terre à fortes magnitudes comme ceux de Boumerdès en 2003 et d’El Asnam (Chlef) en 1980 sont très rares ou très espacés dans le temps», insiste-t-il. «Ce processus est un phénomène naturel qui se produit de façon permanente. Ce qui est différent, par contre, c’est le fait que ces secousses soient ressenties de plus en plus dans les centres urbains, elles touchent l’ensemble des régions du pays», a-t-il expliqué. Raison pour laquelle MM. Hamdache et Yellès-Chaouche ainsi que le Craag, plus généralement, insistent tout particulièrement sur la manière de réduire les risques sismiques, en œuvrant pour une meilleure prévention que cela, soit en termes de construction antisismique des structures ou encore de sensibilisation aux réflexes à adopter en cas de séisme.
http://www.elwatan.com/actualite/craag-rien-d-exceptionnel-28-05-2013-215395_109.php
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