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 L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables

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MessageSujet: L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables   L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables I_icon_minitimeMar 18 Jan - 22:55

M Aziza
Le Quotidien d'Oran : 18 - 01 - 2011
Ni Desertec, ni Plan solaire méditerranéen «On ne veut plus être en retard pour le développement des énergies renouvelables», a affirmé hier, le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, au forum d'El Moudjahid.

Le ministre a déclaré que cet ambitieux programme de développement des technologies des énergies renouvelables est au niveau du gouvernement et sa mise en œuvre est prévue à partir de ce premier trimestre 2011. Le ministre a confirmé l'ambition de l'Algérie de vouloir couvrir ses besoins et alimenter les marchés extérieurs, notamment celui européen, en électricité à base d'énergies renouvelables.

Pour autant, les pouvoirs publics, n'ont pas encore tranché sur le choix de s'inscrire dans l'une des initiatives, celle proposée par les Allemands «Desertec» et celle française, «Plan solaire méditerranéen». Le ministre de l'Energie et des Mines, a laissé entendre que l'Algérie compte élaborer son propre projet, rapidement, et étudiera en même temps, les propositions de ceux qui veulent l'accompagner dans la concrétisation de ce projet. «La porte est ouverte à tout le monde et on prendra soin d'étudier sereinement toutes les propositions», a déclaré Yousfi qui a insisté sur le fait que l'Algérie veut développer, à travers ce programme, la production d'équipements pour la production d'énergies renouvelables, dans le cadre de partenariats, mais ça se fera sur place «en Algérie». Autrement dit, les pouvoirs publics ne veulent pas que l'Algérie serve uniquement de base pour l'installation des équipements étrangers pour les énergies renouvelables.

Le ministre défend son programme et affirme que «nous avons toutes les potentialités pour réussir ce projet. Notre Sahara est le plus ensoleillé dans le monde». Yousfi précise que les pouvoirs publics sont disposés à subventionner la production des équipements technologiques des énergies renouvelables et non leur importation. Le projet en lui-même, précise le conférencier, est basé sur 65 projets dans le domaine solaire, éolien et géothermique. Ces projets peuvent couvrir les besoins nationaux avec une production électrique de 2.600 MW, dans la première phase dont 2.000 MW qui seront destinés à l'exportation, à l'horizon 2020. Le ministre indique que ces projets peuvent permettre la création de 200.000 emplois.

Sur le développement du nucléaire, Yousfi dira qu'une étude est en cours, pour la construction d'une centrale nucléaire de production électrique. Mais, précise-t-il, cette construction n'est pas pour demain vu sa complexité, elle est prévue d'ici 10 à 15 ans. Répondant à une question sur la possibilité de l'Algérie à acquérir d'autres réacteurs, le ministre s'est contenté de dire que l'Algérie n'a pas l'intention d'acquérir de nouveaux réacteurs «nous avons un réacteur d'étude et d'expérimentation, et on ne veut pas en acquérir d'autres».

Interrogé sur la cession des actifs de BP, le représentant du gouvernement a affirmé que le dossier est à l'étude. «Notre compagnie veut étudier très sereinement toutes les propositions» a-t-il déclaré, en précisant que Sonatrach veut prendre des parts de PB, si cette dernière veut les céder.

Pas d'augmentation des prix de l'électricité et du gaz
http://www.djazairess.com/fr/lqo/5148156
Le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi s'est montré très rassurant en écartant toute augmentation des prix de l'électricité et du gaz. «Nous n'avons aucune intention de réviser les prix d'électricité ou du gaz» a-t-il affirmé en expliquant que «tous les coûts sont supportés par l'Etat. On débourse 7 milliards de dollars pour soutenir le gaz naturel livré à Sonelgaz pour la production de l'électricité qui doit arriver aux citoyens à des prix très bas» a-t-il indiqué, en disant que «l'Etat fera de son mieux pour éviter toute augmentation».

«Le peuple tunisien est un grand peuple»

En absence de réaction officielle algérienne sur le départ du président Zine El Abbidine Ben Ali, le ministre de l'Energie et des Mines été interpellé sur le sujet, notamment sur le sort de la coopération énergétique entre l'Algérie et la Tunisie. Le ministre a affirmé qu'il a beaucoup d'estime et de considération pour le peuple tunisien, par le fait qu'il était pendant longtemps ambassadeur d'Algérie à Tunis. Yousfi a répété à plusieurs reprises «le peuple tunisien est un grand peuple». Et de poursuivre «nous souhaitons un retour rapide du calme et de la paix, pour que le pays retrouve le chemin de la prospérité et de la sérénité». En ce qui concerne la coopération entre les deux pays, le ministre dira que «la coopération avec la Tunisie continue, c'est un pays frère, nous avons des liens ancestraux» et d'ajouter «nos liens de coopération sont intenses».
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MessageSujet: énergies nouvelles   L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables I_icon_minitimeSam 22 Jan - 12:29

Développement des énergies nouvelles : 250 millions d’euros pour la création d’une usine de silicium
L’Algérie s’est résolument engagée dans le développement des énergies renouvelables. Le directeur de l’unité de développement du silicium, Messaoud Boumaour, l’a confirmé jeudi sur les ondes de la chaîne III.
L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables Qc68tzmos6Photo : Fouad S.

A l’échelle mondiale, cette filière croît annuellement de 40 à 50 %. L’Algérie compte couvrir à l’horizon 2030, 40% de ses besoins en électricité à partir des énergies nouvelles. Un grand défi à relever, étant donné la limite du taux de production actuel estimé à 1%.
Selon l’invité de la rédaction, cette stratégie a permis de déterminer un objectif que l’Algérie devrait réaliser à moyen terme. « L’Algérie n’a pas de grands gisements pour développer l’éolien à l’exemple de certains pays européens », a reconnu M. Boumaour estimant qu’il est important de disposer une dizaine de mégawatts pour connaître la technologie avant de passer à une autre étape. L’invité de la rédaction n’a pas manqué de mettre l’accent sur la prudence, puisqu’il qu’il s’agit de grands et importants investissements. « L’Algérie doit d’abord développer le solaire, le thermique et le photovoltaïque », a-t-il souligné. Selon cet expert en énergies renouvelables, le photovoltaïque s’adapte parfaitement à la sécurisation des frontières, aux impératifs de défense et à l’agriculture. Messaoud Boumaour a annoncé à l’occasion, la réalisation, à partir de 2013 du projet d’usine de silicium destiné à la fabrication de panneaux solaires. Le coût global de ce projet est estimé, selon l’invité de la radio, entre 200 à 250 millions d’euros.
Confiée au groupe Sonatrach en partenariat avec l’unité de développement du silicium, cette usine, une fois achevée, permettra la sécurisation des approvisionnement en matière première de la future industrie du silicium dans notre pays. Novice dans le domaine, l’Algérie dépendra durant les cinq premières années de la mise en service de cette structure, de l’importation en grande partie de certains produits consommables et matières premières, tels les gaz industriels. Non encore produites en Algérie, ces matières sont indispensables pour la fabrication de panneaux solaires. Des dépenses colossales déduites du coût global des investissements.
Selon M. Boumaour, il faut aller résolument mais prudemment puisqu’il s’agit d’importants investissements pour l’acquisition de technologies. « Il ne s’agit pas de recruter certaines personnes et les former sur le tas. Il y a une stratégie qui se dessine mais il est important de travailler en décloisonnement, les départements de l’énergie, de l’industrie, l’enseignement supérieur, plusieurs entités publiques, la formation professionnelle… », a-t-il souligné.
Pour le photovoltaïque, l’invité de la rédaction plaide pour la création de plate-forme technologique et la formation de techniciens sur toute la chaîne. Il rappelle la nécessite de créer un commissariat aux énergies renouvelables
http://www.horizons-dz.com/economie/18008.html
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MessageSujet: L'usine de panneaux solaires de Rouiba opérationnelle en 2012   L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables I_icon_minitimeDim 23 Jan - 16:37

Les travaux de réalisation débuteront au cours de ce trimestre
Badia Amarni
La Tribune : 23 - 01 - 2011
L'usine de fabrication de modules photovoltaïques (panneaux solaires), qui sera opérationnelle dès 2012, verra le lancement de ses travaux avant la fin du premier trimestre 2011, selon les informations fournies par Sonelgaz à l'Agence presse service (APS). La capacité annuelle de production de cette usine peut aller de 50 à 120 MW pour un montant total d'investissement de 100 millions de dollars intégralement financé par Sonelgaz. L'implantation de cette future unité est prévue au niveau du site de la société Rouiba Eclairage (zone industrielle de Rouiba) sur une surface globale de quatre hectares. Le lancement de l'appel d'offres relatif à ce projet a été récemment lancé.Il faut rappeler que la société Rouiba Eclairage appartenait à la SGP Cabeleq avant son transfert, en juin 2009, au groupe Sonelgaz. Pour rappel également, le ministre de l'Energie et des Mines, Youcef Yousfi, avait déclaré lors du forum d'El Moudjahid que l'exécution du programme national de développement des énergies renouvelables est prévue pour le premier trimestre de l'année en cours et générera pas moins de 200 000 emplois. Portant sur un nombre de 65 projets, d'une capacité de 2 600 MW d'électricité en plus de 2 000 MW qui pourraient être destinés à l'exportation, ce programme sera bientôt soumis au Conseil des ministres pour approbation. Il permettra le développement industriel du pays, à travers l'intégration des capacités nationales de réalisation, de production, d'exploitation et de maintenance. A travers ce programme, l'Algérie ambitionne d'établir une véritable industrie des énergies renouvelables pour la production de l'électricité, entre autres. Deux projets dans ce sens sont déjà lancés. Le premier concerne la centrale hybride (gaz-solaire) de Hassi R'mel, d'une capacité de 150 MW, dont la réception est prévue prochainement. Le deuxième consiste en une ferme éolienne de 10 MW dans la wilaya d'Adrar et dont les travaux sont déjà lancés.
Le potentiel énergétique solaire de l'Algérie dépasse les cinq milliards GWh/an. La moyenne annuelle d'ensoleillement va de 2 550 heures dans le Nord à 3 819 heures dans le Sud avec une capacité de production respective de 1 700 et 2 650 Kwh/m2/an.

B. A
http://www.djazairess.com/fr/latribune/46230
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MessageSujet: Le programme algérien des énergies renouvelables aurait l'ambition modeste   L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables I_icon_minitimeMar 25 Jan - 21:36

se n'est qu'un début
par Salim Dali

L'Algérie veut produire 2600 MW à partir des énergies renouvelables dans une première étape, dans un contexte d'aisance financière et de surliquidités bancaires. Pas trop ambitieux contrairement aux annonces, estiment des experts.

Pour certains experts, la montagne aura accouché d'une souris. Le nouveau programme de développement des énergies renouvelables esquissé à plusieurs reprises par le ministre de l'Energie et dont le contenu global n'est pas encore connu devrait produire 2600 MW à partir des énergies renouvelables dans une première phase. A un horizon plus lointain, vraisemblablement 2030, l'objectif est de produire 40% de l'électricité à partir des énergies renouvelables. En supposant que les capacités nationales évoluent au rythme des besoins actuels (800 MW/an) ce sont 10.000 MW qui devraient être produits à partir des énergies renouvelables à cette échéance. Une ancienne mouture du programme de développement des énergies renouvelables se donnait l'objectif de produire 17.000 MW à partir des énergies renouvelables à l'horizon 2030. La feuille de route, il est vrai à peine esquissée, ne donne pas d'indications sur la part du renouvelable dans le bilan énergétique du pays aux horizons 2020-2030. Cela aurait permis, si c'était le cas, de mesurer l'effort entrepris en matière de développement des énergies renouvelables. «On peut en deux ans accélérer le développement de l'énergie solaire en Algérie.», observe un expert international spécialiste des questions énergétiques. D'autant que le coût des panneaux photovoltaïques est en train de baisser avec l'émergence de la Chine comme puissant acteur de l'industrie du solaire dans le monde. Le processus de développement des énergies renouvelables en Algérie parait trop long aux experts. Dans sa feuille de route, le projet est scindé en trois étapes d'une durée de trois ans chacune. Au cours de la première phase seront testées les technologies en matière de renouvelable et donc de vérifier leur fiabilité et leur adaptation aux conditions climatiques du pays. La seconde étape sera consacrée à la fabrication en Algérie des pièces et des équipements nécessaires au fonctionnement de l'industrie du renouvelable. Dans une troisième étape, il s'agira de booster la production et l'exportation d'électricité à partir des énergies renouvelables. Fera-t-on pour cela appel à toutes les capacités nationales ? Sur ce point, l'esquisse de plan révèle une certaine frilosité.

La contribution du privé pas évoquée

La contribution du privé algérien dans le développement du solaire n'est guère évoquée alors que des entreprises algériennes comme Sim et Cevital s'y intéressent. Cevital, qui fait partie du projet Desertec, compte même réaliser une usine de panneaux photovoltaïques en Algérie. L'engagement d'une entreprise algérienne avec un groupe de grands énergéticiens et d'équipementiers européens dans le projet Desertec se heurte à la réserve des pouvoirs publics. Youcef Yousfi a posé des préalables aux discussions avec les projets qui viennent d'Europe. «Ayons notre feuille de route avant de négocier avec nos partenaires» a-t-il affirmé. Cette timidité de la démarche ne permet pas d'envisager d'éventuelles prises de participations algériennes dans des sociétés internationales spécialisées dans le solaire, l'éolien ou le géothermique, ce qui aurait permis, selon des experts algériens, l'acquisition de savoir-faire. Les autorités algériennes ont à plusieurs reprises exclu l'idée de constituer des fonds souverains. Quant à la règlementation de la Banque d'Algérie, elle est dissuasive aux investissements algériens à l'étranger. En attendant de connaître le détail du programme qui devait être présenté le 5 janvier dernier mais qui a été ajourné pour cause d'émeute, les premiers éléments livrés au public donnent bien une impression de timidité
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MessageSujet: Energies renouvelables en Algérie : L’offre de service des Allemands   L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables I_icon_minitimeMer 26 Jan - 17:27

25 janvier 2011
L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables 628krb2xck
« Le potentiel soleil » dont dispose l’Algérie peut-il constituer un jour un atout en face d’une « Europe froide » qui est à la recherche d’énergies alternatives ?

En tous les cas, la question mérite d’être soulevée après l’intérêt clairement affiché, par les Allemands notamment, de réaliser l’une des plus grandes stations solaires au monde dans le cadre du mégaprojet DESERTEC. Mais il n’y a pas que cela qui semble intéresser les Allemands.

L’Algérie dont le fonctionnement dépend exclusivement des énergies fossiles, compte lancer un vaste programme pour le développement des énergies renouvelables. Selon le département de Youcef Yousefi, 30% de l’électricité dans notre pays, d’ici l’horizon 2030, devront être produits à partir des énergies renouvelables. C’est un véritable challenge que se lancent, en effet, les autorités algériennes qui savent pertinemment que ni le gaz, ni le pétrole ne sont éternels.

En ce sens, les Allemands, qui restent leaders mondiaux dans le domaine de la technologie des énergies renouvelables, multiplient ces dernières années, les offres de service et semblent plus que jamais intéressés par ce secteur en Algérie. A cet effet, une délégation d’hommes d’affaires et d’experts allemands, dans le domaine de l’énergie solaire, devait arriver hier à Alger, pour prendre part à la « 5ème conférence sur l’énergie solaire ». « L’ambition des autorités algériennes d’augmenter la part des énergies renouvelables dans la production électrique, nous a fortement encouragés à promouvoir de nouveau, le potentiel du marché de l’énergie solaire dans l’économie allemande », a déclaré hier, le directeur général par intérim de la chambre de Commerce et d’Industrie algéro-allemande (AHK), Alex Dhina.

Ce dernier, qui intervenait à l’occasion d’un séminaire organisé à l’hôtel El Djazair, à Alger, a fait la promotion des entreprises germaniques en soulignant que ces « entreprises allemandes sauront être un partenaire durable dans le cadre du transfert de technologie et de savoir-faire ». Il soutiendra que le séminaire organisé hier, ainsi que les rencontres d’affaires programmées durant les trois prochains jours entre les hommes d’affaires algériens et allemands, s’inscrivent dans le cadre d’une série de manifestations, initiées par AHK depuis 5 années sur les thèmes de l’environnement et des énergies renouvelables. Il faut savoir, par ailleurs, que Sonelgaz a mis en place, depuis quelque temps, sa propre stratégie pour ce qui est des énergies renouvelables.

Qualifiées « d’atout majeur » par la directrice de la stratégie au sein de Sonelgaz, Mme Mohammedi, les retombées économiques de cette stratégie sont diverses notamment en matière de maîtrise de la technologie et de la création d’emplois. Lors de son intervention, Mme Mohammedi précise qu’il ne s’agit nullement ici d’acheter une technologie quelconque mais bien d’une stratégie nationale basée fortement sur le développement de la filière solaire.

Z. Mehdaoui


Tags: Energie nucléaire Energie solaire Energie renouvelable
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MessageSujet: l’avenir des énergies renouvelables dans notre pays   L'Algérie aura son propre projet d'énergies renouvelables I_icon_minitimeLun 7 Fév - 12:05

Le programme national des ENR est “réaliste et réalisable”
Les énergies renouvelables, appelées aussi énergies propres, ont été au centre d’un débat initié, hier, par El Moudjahid autour d’éminents experts.
M. Boumahra Abdelaziz, P-DG, Rouiba Eclairage (Sonelgaz). M. Belhamel Mayouf, directeur du Centre de développement en énergie renouvelables, M. Boukhelifa Khaled, expert-consultant international, un programme de développement vient d’être adopté lors du dernier Conseil des ministres.

Un programme à l’horizon 2030
Il s’agit d’un programme ambitieux, dira à ce sujet M. Belhamel Mayouf, directeur du CDER. Selon les attendus du programme, il s’agit d’un programme à l’horizon 2030. Les années 2011 à 2013 seront consacrées à la consolidation des données, à travers des études et des projets pilotes destinés à tester les différentes technologies à mettre en œuvre. Les années 2014 et 2015 connaîtront le lancement des investissements requis qui seront accrus, afin d’atteindre à l’horizon 2030, la production de 22.000 mégawatts d’électricité par la voie des énergies nouvelles et renouvelables, soit plus du double des capacités actuelles par le recours au gaz naturel.

Différentes techniques valorisées
En termes d’efficacité énergétique, différentes méthodes seront valorisées, dont l’isolation thermique des habitations, le chauffe-eau solaire, la généralisation de l’éclairage à consommation réduite d’électricité dans le secteur industriel, avec des incitations publiques, ainsi que le développement de la motorisation des véhicules collectifs et particuliers par l’énergie gazière. Cette démarche nécessitera des investissement importants, mais permettra d’économiser près de 600 milliards de mètres cubes de gaz sur 25 années. La moitié de ce volume sera ainsi conservée pour les prochaines décennies, alors que l’autre moitiée exportée générera pour le pays des recettes minimales supplémentaires estimées à 200 milliards de dollars au cours des 25 prochaines années.

Naissance d’une industrie de la sous-traitance
La politique énergétique ainsi déclinée sera accompagnée d’une industrie de la sous-traitance locale dans les énergies renouvelables à même de générer durant la décennie, un minimum de 100.000 emplois, et même plus, pensent les experts invités par El Moudjahid dans le cadre de la table ronde. Il s’agit d’emplois à haute valeur ajoutée. Deux milliards de dinars seront mobilisés pour les études et 12 milliards de dinars seront nécessaires à la subvention de l’électricité qui sera produite par les réalisations expérimentales d’énergies renouvelables. 50 milliards de dinars seront mobilisés en crédits bancaires à des conditions avantageuses pour permettre la réalisation d’unités expérimentales durant les trois années.

Création d’un commissariat aux énergies nouvelles
Un commissariat aux énergies renouvelables verra le jour, qui sera chargé de fédérer les compétences. 1% de la fiscalité pétrolière sera affecté aux énergies renouvelables et une utilisation plus rationnelle des énergies conventionnelles. Pour M. Belhamel Mayouf, directeur du Centre de développement des énergies renouvelables, le programme arrêté par le gouvernement est un programme de réalisation. Le volet recherche-formation est pris en charge par l’université et autres centres de recherche. L’orateur rappelle les étapes du programme qui bénéficie d’un financement important, 64 milliards de dinars sont consacrés pour l’aspect études entre 2011 et 2013, il y aura la consolidation des études financées et l’identification des techniques et technologies aux fins d’implantation 2014-2015, ce sera le lancement de grands investissements.

40% du bilan énergétique constitué par les énergies renouvelables à l’horizon 2030
La période 2015-2030, ce sera les années de réalisation des objectifs qui ont été arrêtés. 40% du bilan énergétique devraient être constitués par les énergies renouvelables. La création du commissariat aux énergies renouvelables à le mérite de regrouper les compétences et le suivi des projets, aujourd’hui dispersé entre plusieurs institutions.

Sonelgaz, une entreprise pilote
Le programme de réalisation est piloté par Sonelgaz dont tous les intervenants ont reconnu la pleine capacité pour conduire les opérations. L’unité de Rouiba va permettre la réalisation de centrales thermiques à grande échelle. Une expérience témoin existe à Hassi R’mel. La situation sera inaugurée en ce début de semestre pour la production électrique d’origine solaire. Il y a une installation progressive à Adrar, également beaucoup de sites sont identifiés pour intégrer les énergies renouvelables. Hassi Messaoud et d’autres villes à vocation énergie solaire, c’est un programme ambitieux, rappelle encore M. Belhamel qui tient compte des possibilités nationales. Il comprend une période d’expérimentation.

Le partenariat, une obligation
Pour M. Boukhelifa, consultant international, la partenariat est une donnée importante dans ce type de dossier. Il faut regarder le retour d’expérience. C’est indispensable note-t-il.  C’est un partenariat gagnant-gagnant qui doit prévaloir. Les pays occidentaux cherchent à préserver leurs approvisionnements. Nous, nous avons le soleil et nous avons les moyens de financements, cela fonde une action partenariale qui nous permettra la concrétisation de projets, laissant ainsi aux générations futures des réalisations concrètes.
Nous devons défendre nos intérêts tout en essayant de tirer profit du savoir-faire extérieur. Nous prendrons notre temps pour cela en important de la technologie et en l’assimilant par nos propres cadres. 
S’agissant de la création du commissariat aux énergies nouvelles, l’orateur note que cette institution permettra à coup sûr de regrouper les compétences. 

Un projet mûri par des locaux et partenaires extérieurs
Lors de son intervention, M. Boumahra Abdelaziz, P-DG Rouiba Eclairage, relevant de Sonelgaz, le projet dont est porteur le groupe dirigé par l’orateur (Unité éclairage de Rouiba), a été mûri, dit-il, par l’apport de locaux et de partenaires extérieurs. Il s’agit d’une complexe industriel pour la réalisation de panneaux photovoltaïques, fabrication de lingots et plaquettes et assemblage de modules. En 2013, les prévisions font état de la production de 115 à 120 mégawatts. Il s’agit d’un projet très important, note le P-DG de Rouiba Eclairage, doté d’une technologie de pointe. Nous travaillons en collaboration avec des spécialistes et chercheurs.

Tester toutes les technologies
Pour M.  Kara Mostefa, directeur général de l’Agence nationale pour les changements climatiques, il est nécessaire de tester toutes les technologies existantes et leurs combinaisons. Pourquoi le solaire s’interroge l’orateur ? Les énergies renouvelables s’imposent d’elles-mêmes avec une large prédominance du solaire. Le contexte actuel et la concordance des événements, est-il noté, lui sont en effet très favorables.
Le plan énergie renouvelable de l’Union européenne adopté en 2008, sous l’impulsion de l’Allemagne avec l’objectif d’attendre 20% d’énergie reste à l’horizon 2020, plan très ambitieux et qui représente un potentiel d’accroissement des capacités de production d’énergie propre et renouvelable considérable, ceci n’étant possible qu’en s’appuyant sur l’immense gisement solaire que représente le Sahara africain.

Favoriser le passage à l’ère solaire
La création toujours sous l’impulsion de l’Allemagne, de l’Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA), institution comparable à l’AIEA, devrait favoriser le passage à l’ère du solaire, en tant que locomotive. Pour M. Kara, l’énergie solaire énergie renouvelable et de très loin la plus abondante se révèle comme la solution majeure des années à venir.
Le processus de recherche dans le domaine qui remonte à plusieurs décennies nous offre aujourd’hui deux grandes voies connues de domestication du soleil : les technologies utilisant les miroirs et les technologies photovoltaïques, mais il faut bien admettre, relève le directeur général de l’ANCC, que la question de l’intermittence du soleil, que ces deux technologies n’ont pu résoudre, a toujours constitué un handicap sérieux au déploiement du solaire.

7% des besoins mondiaux en électricité verte en 2030
Néanmoins un rapport de Greenpeace édité en 2009, montre les perspectives considérables de la voie solaire avec des estimations et des scénarios quantifiés, note le DG de l’ANCC, 7% des besoins mondiaux pourraient être atteints en électricité verte en 2030 et 25% en 2050, bien que les possibilités solaires soient bien plus vastes.
L’orateur a évoqué une voie complètement nouvelle, dit-il, celle de la technologie de la tour solaire à courant aérien ascendant qui constitue après le miroir et le voltaïque, la troisième alternative. Cette conception abouti à une centrale d’une puissance de 200 mégawatts et certainement bien plus à l’avenir, l’équivalent d’une petite centrale nucléaire (de quoi alimenter une ville d’un million d’habitants.

La tour solaire, l’autre alternative
Les seuls besoins de cette centrale sont un rayonnement solaire important et une absence de contraintes foncières, critères auxquels les déserts d’Afrique répondent de façon optimale. La centrale produit de l’électricité jour et nuit.
Le directeur général de l’ANCC se dit favorable pour que les technologies existantes soient testées. C’est d’ailleurs le vœu du gouvernement tel que révélé lors du dernier Conseil des ministres. Il faut tester et dégager les avantages et inconvénients de chacune des technologies pour sortir, à horizon raisonnable, avec un modèle énergétique propre. Le kilowatt doit être à notre portée à cet horizon si l’on veut exporter.

A Hassi R’mel, un projet important
Dans le débat, il a été rappelé le cas d’école de la centrale de production d’énergie hybride solaire et gaz de Hassi R’mel projet mené près d’un gisement de gaz naturel considéré comme le plus important en Algérie. Réalisé pour le compte de Neal (New Energy Algeria, une filiale de Sonelgaz et Sonatrach), ce chantier d’un coût de 315 millions d’euros devrait créer un million d’emplois et ouvre à l’Algérie des perspectives d’exportation d’électricité vers l’Europe.

Meghaïr, Naâma, le solaire entre en jeu
Quant au projet de la centrale hybride solaire CSP/gaz combinée à Meghaïr, l’étude de faisabilité a été lancée en 2010 pour une centrale qui aura une capacité installée de 470 MW dont 70 MW pour la partie solaire.
Pour la centrale hybride de Naâma, des études d’identification, des sites pour la production d’électricité à partir de l’énergie solaire dans le cadre du projet Empower, ont été lancés.

Un potentiel solaire, considéré comme le plus important du bassin méditerranéen
Le potentiel solaire de l’Algérie est considéré, a-t-il été noté, comme l’un des plus importants dans la Méditerranée et l’exploitation de cette source pourra contribuer à économiser le pétrole et le gaz.
L’Algérie ambitionne de porter à 6% la part d’énergies renouvelables dans sa production électrique à l’horizon 2015. Sur le partenariat, les vis-à-vis cherchent à assurer leurs approvisionnements, a-t-il été dit, et assurer leur croissance aussi. C’est à nous d’être maître de notre destin, souligne M. Boukhelifa, consultant international. On a 10 ans pour nous préparer et entrer par la grande porte. Nous sommes par ailleurs un grand producteur de gaz. Nous avons un marché national qui avance à 8% l’an. C’est un marché fort demandeur d’énergie.

L’efficacité énergétique comme objectif majeur
Le gouvernement a pour objectif l’efficacité énergétique, c’est-à-dire réduire la consommation énergétique en tablant sur le développement des énergies renouvelables qui peuvent ouvrir à l’export. Il faut associer tout le monde à ce vaste projet. Pour M. Belhamel Mayouf, DG du CDER, le dispositif législatif est important. Il faut rappeler la décision du gouvernement d’introduire dans le projet de loi de finances prochain, l’allocation de 1% de la fiscalité tirée des hydrocarbures au développement des énergies renouvelables. En 2010, un fonds de soutien a été mis en place. C’est un soutien réel.

Un véritable défi
Les énergies renouvelables, note l’orateur, constituent un véritable défi pour l’emploi innovant (100.000 emplois et plus peuvent être créés), avec la création notamment de bureaux d’études pour accompagner les projets. L’aspect financier joue un rôle important. Il y a une enveloppe de 120 milliards de dollars à horizon 2030, avec implication d’une entreprise fiable comme pilote, Sonelgaz, ce n’est pas n’importe qu’elle entreprise en effet. Le commissariat aux énergies nouvelles va coordonner le partenariat s’il est bien banalisé ne sera que profitable. C’est à nous à préciser ce que l’on veut. Les énergies renouvelables, c’est un pari important.

Un territoire vaste et de grandes opportunités
Nous avons un territoire très vaste et d’énormes opportunités. Il nous faudra assurer un équilibre régional. L’électrification des zones déshéritées fait partie de cet équilibre. La Sonelgaz a des perspectives importantes en la matière et les zones qui seraient inaccessibles, pourront se voir doter de projets solaires là où ce n’est pas possible pour Sonelgaz d’aller. Le dispositif financier est donc venu compléter le dispositif législatif réglementaire gaz-solaire n’est pas une compétition, mais une complémentarité en matière d’énergie. La période 2011-2013, va permettre de mettre en place les installations pilotes. Le solaire est la solution la plus intéressante ce n’est pas là un vue de l’esprit. Les énergies renouvelables sont utiles et il y a dans notre pays, le soutien de l’Etat et une volonté d’intégration progressive de cette ressource.

A Rouiba a été retenue la formule du photovoltaïque
Evoquant dans le débat en réponse à des questions, le projet de Rouiba, M. Boumahra Abdelaziz, P-DG de Rouiba Eclairage, relève qu’il a été retenu la technologie du photovoltaïque. C’est la plus répandue, dit-il (50% de tout ce qui se fabrique dans le monde).
Le photovoltaïque permet de résoudre beaucoup les émissions de CO2,  0,3 million de tonne/an et en 2020, 1 million de tonne/an. M. Kara, DG de l’ANCC, confirme que le photovoltaïque est une technologie intéressante. Nous sommes cependant en présence d’un bouquet technologique, dit-il, et il ne faut exclure aucune technologie. Il faut les tester toutes. Le DG de l’ANCC rappelle que l’Algérie s’est intéressée au photovoltaïque en1974 déjà. Il évoque le projet d’Adrar, projet financé par l’UNESCO et les difficultés rencontrées à l’époque (sable, etc.).

Le photovoltaïque, matière élargie aux villes
Pour M. Kara, le photovoltaïque peut réussir dans la ville dans la conception des logements où l’on peut faire ainsi l’économie de 30% en consommation électrique. Concernant la tour solaire à courant aérien ascendant, il y a des expériences en Allemagne, en Chine, etc. C’est une technologie très avancée, mais il existe des lobbys qui en freinent la promotion et l’expansion. Pour l’orateur, c’est le test des trois technologies (photovoltaïque, géothermie, tour solaire) qui va déterminer l’aspect économique et les enjeux pour se projeter sur 2020. Le coût du kilowatt sera déterminé par ces tests.

Tirer les enseignements des expériences passées
Pour M. Boukhelifa, consultant, il y a des réalisations déjà en matière de villages solaires. Il faut en tirer les enseignements pour avancer. Il y a des contrats de maintenance qui ont été signés, ce qui n’était pas possible dans le passé.
Pour M. Belhamel, directeur du CDER, chaque village, chaque douar doit avoir l’électricité. Les problèmes d’installation sont pris en charge. Il faut les essaimer. L’avantage du photovoltaïque c’est sa faculté d’être modulable. Le CDER dispense des stages de courte durée en matière de maintenance des installations. Les installations solaires, il faut le savoir, note l’orateur, sont plus fiables et plus viables. Le solaire pour ce type d’installations, répond très bien aux préoccupations des uns et des autres. Il y a une consommation moindre d’électricité et cela apporte des services irremplaçables.

Le coût des équipements reste élevé
Le coût des équipements demeure malgré tout encore relativement cher, c’est pour cela que les subventions publiques à ce stade sont nécessaires, c’est pris en charge, puisque on rappelle que 1 % de la fiscalité pétrolière va être affectée au programme des énergies renouvelables arrêté par le gouvernement. M. Belhamel relève que ce programme tombe à pic pour son institution. Nous avons, dit-il, des chercheurs.

40 villages solaires réalisés
M. Boukhelifa note dans ses réponses aux participants, que Sonelgaz a réalisé les 40 villages solaires qui sont le résultat d’efforts multiples. On peut encore aller de l’avant. D’ici 2020, on sera dans un autre modèle énergétique, relève pour sa part M. Kara, DG de l’ANCC. Il faut impliquer impérativement le privé dans les programmes. Pour M. Belhamel, DG du CDER, les investissements restent encore lourds, d’où la nécessité de privilégier la formule partenariale. On peut lancer des expériences pilotes.

Il s’agit d’un programme de réalisations
Le programme du ministère de l’Energie et des Mines est un programme de réalisations, ce n’est pas un programme de recherche. Il ne s’agit pas en l’occurrence de faire des tests, mais bien de répondre à des besoins sociaux. C’est une préoccupation importante. Les énergies nouvelles peuvent apporter beaucoup par rapport aux énergies classiques. Des économies importantes peuvent être réalisées. Il s’agit de répondre encore une fois à des préoccupations nationales, à des problèmes concrets qui se posent aux populations.

Le volet financier n’est plus un handicap
L’important aujourd’hui c’est que le volet financier pour ce programme n’est pas un handicap. Il y a un spectre de choix technologiques qui fait de la question partenariale, un aspect important. Ce partenariat est un partenariat gagnant-gagnant et résoudre les problèmes dans le domaine technologique qui peuvent se poser. S’agissant de l’aspect recherche-formation c’est l’université qui en a la charge.

La géothermie, une technologie intéressante et à moindre coût
Dans le programme, il y a d’autres énergies qui étaient délaissées et qui sont pourtant à des coûts très bas, notamment la géothermie. A travers le programme, on va pouvoir tester l’électricité par la géothermie. Le financement qui était un obstacle dans le passé, est aujourd’hui réglé. Il y a une expérience à Saïda avec l’équipement d’un hôtel. Il va y avoir une clinique qui va être dotée de cette technique. Ce sont des sources créatrices d’emplois appelés à se multiplier. Le programme du gouvernement, note M. Belhamel, DG du CDER, présente des avantages. Ce qui a été réalisé par ailleurs à Rouiba, a fait ses preuves, ce sera au privé de se joindre au mouvement et voir notamment ce qui se fait à l’étranger.

Le privé doit s’impliquer
Le privé doit prendre des risques s’il veut s’investir. Le CDER, qui est un organisme qui fait de l’expérimentation et non de la recherche, est partie prenante du programme du gouvernement. Cela étant, on peut dire qu’à travers les interventions de spécialistes durant cette table ronde, on a bien senti que l’Algérie s’intègre dans le réajustement des politiques énergétiques au niveau planétaire et dans leurs implications sur le plan économique et sociétal, notamment dans le cadre d’une collaboration Nord-Sud.

Un large spectre d’énergies nouvelles
On a bien compris qu’il avait un large spectre d’énergies renouvelables. Que l’intérêt pour les énergies renouvelables est sous-entendu par d’indéniables avantages, notamment la dispersion dans l’espace qui fait qu’elles peuvent être utilisées partout où elles se trouvent. Du fait des avantages et en dépit de certaines contraintes en termes de coûts notamment, le rôle qui est dévolu aux énergies renouvelables dans le cadre de la politique énergétique nationale est de répondre à la demande énergétique sur les sites isolés et loin des réseaux d’électricité et de gaz naturel.

Une baisse des coûts prévisible
Les perspectives technologiques ont pour corollaire une baisse des coûts à terme, l’évolution de la conjoncture énergétique internationale et les obligations de préservation de l’environnement ont imposé à l’Algérie de revoir sa stratégie de développement et d’assurer la promotion et le développement des énergies renouvelables.
T. M. A.

Publié dans : Forum d'EL MOUDJAHID , Energies renouvelables
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