Sujet: actualités israelienne (économies politiques militaire ) Mar 3 Jan - 16:08
Faut-il frapper préventivement l'Iran ?
Le débat oppose ceux qui estiment que le programme nucléaire iranien doit être détruit dans l'oeuf à ceux qui craignent la guerre. "Un Iran nucléaire ne constituerait pas nécessairement une menace existentielle pour Israël..." Cette petite phrase de l'actuel patron du Mossad a fait son effet sur les responsables politiques du pays. Et plus particulièrement le chef du gouvernement et son ministre de la Défense qui, depuis des mois, ne cessent de qualifier le nucléaire iranien justement de menace "existentielle". Benyamin Netanyahou compare le président Ahmadinejad à Hitler en expliquant que l'Iran doit être traité comme l'Allemagne nazie aurait dû l'être en 1938, juste avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Quant à Ehoud Barak, le "patron" de la Défense nationale, il vient de déclarer devant la commission parlementaire des Affaires étrangères et de la Défense que "malgré les sanctions et les pressions extérieures, le programme nucléaire iranien avançait..."
De fait, messieurs Netanyahou et Barak sont, au sein du gouvernement, les champions d'une frappe préventive contre les centres nucléaires iraniens. Une nécessité absolue, à leurs yeux, dont ils n'ont toutefois pas convaincu la majorité des membres du cabinet de sécurité, ce forum comportant huit ministres. Les anciens chefs de l'armée et des services sont aussi, pour leur part, loin d'être convaincus. À leur tête, Meïr Dagan, l'ancien patron du Mossad pour qui une attaque israélienne sur l'Iran "serait une idiotie et déboucherait sur une guerre régionale". Même son de cloche de la part de l'ancien chef d'état-major, le général Amnon Lipkin Shahak, et de Youval Diskin, l'ex-numéro un du Shin Beth. D'après ce que l'on sait, leurs successeurs en poste actuellement seraient également de cet avis.
Avertissement américain L'autre partie du débat en Israël concerne la position américaine sur cette question primordiale : Israël peut-il se passer du feu vert de l'administration Obama ? À ce sujet, Benyamin Netanyahou a refusé à plusieurs reprises de s'engager à avertir Washington de l'imminence d'une telle opération. Face à cela
La poursuite de la colonisation israélienne en Cisjordanie et à Jérusalem-Est a provoqué le gel des négociations israélo-palestiniennes.
Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a appelé Israël à «cesser» son occupation des territoires palestiniens, au lendemain d'une nouvelle rencontre israélo-palestinienne restée sans résultats. «L'occupation par Israël des territoires arabes et palestiniens doit cesser. La violence contre les civils aussi», a-t-il déclaré lors d'une conférence à Beyrouth sur la transition démocratique dans le monde arabe. «Les colonies, nouvelles ou anciennes, sont illégales. Elles contrarient la naissance d'un Etat palestinien viable», a-t-il souligné. «Il est grand temps de trouver une solution prévoyant deux Etats», a martelé le chef de l'ONU, ajoutant: «Avec le statu quo, le conflit se poursuit assurément». «Ensemble, nous devons tout faire pour sortir de l'impasse et instaurer une paix durable». La poursuite de la colonisation israélienne en Cisjordanie et à Jérusalem-Est a provoqué le gel des négociations israélo-palestiniennes depuis septembre 2010. Interrogé par l'AFP, le porte-parole du ministre israélien des Affaires étrangères, Yigal Palmor, s'est contenté de dire que le plus important était «de poursuivre les négociations en vue de régler toutes les questions évoquées» par M.Ban et «de ne pas compromettre les pourparlers en cours». Mais ces pourparlers semblaient une fois de plus dans l'impasse. Au lendemain d'une «rencontre exploratoire» en Jordanie censée faire avancer la reprise des négociations, la troisième depuis le 3 janvier, le fossé «reste large» entre Israël et les Palestiniens, a ainsi indiqué une source officielle palestinienne. «La troisième réunion organisé à Amman en présence du ministre jordanien des Affaires étrangères (Nasser Jawdeh) n'a rien produit de nouveau», a affirmé cette source proche du dossier. «Il y a encore un large fossé entre nous sur toutes les positions parce que la partie israélienne n'a rien offert de neuf et continue d'entraver la reprise des négociations», a-t-elle déploré. Cette rencontre a eu lieu samedi soir à Amman entre le négociateur palestinien Saëb Erakat et son homologue israélien Yitzhak Molcho. Le président palestinien Mahmoud Abbas, qui commence dimanche une nouvelle tournée en Europe, avait déjà répété que les précédentes «rencontres exploratoires» n'avaient pas permis de définir une base de discussions. M.Netanyahu a promis une accélération de la colonisation à Jérusalem-Est et en Cisjordanie, en réponse à la démarche des Palestiniens pour faire reconnaître un Etat de Palestine à l'ONU et à leur récente admission à l'Unesco. Un rapport interne de l'Union européenne obtenu jeudi par l'AFP souligne que «l'ouverture en faveur d'une solution à deux Etats est en train de se refermer rapidement avec la poursuite de l'expansion des colonies israéliennes et les restrictions de mouvement imposées aux Palestiniens en zone C.» Aux termes de l'accord intérimaire dit d'Oslo II de septembre 1995 entre l'OLP et Israël, la Cisjordanie est partagée en zone A, sous contrôle civil et sécuritaire palestinien, zone B (sous contrôle civil palestinien et sécuritaire israélien) et C (sous contrôle civil et sécuritaire israélien). Le Quartette pour le Proche-Orient (Etats-Unis, Russie, Union européenne et ONU) donné aux Palestiniens et Israéliens jusqu'au 26 janvier pour présenter des propositions détaillées en vue d'un règlement de paix
Sujet: sujet du message Israël espionne l'Algérie Ven 17 Aoû - 16:17
Bonsoir D S I, bonsoir à tous Merci pour ta précision; rien ne vaut le fait de se déaltérer aux bonnes sources;D e tous temps Israël aimait espionner;. Lihoud d'Algérie du temps de la France s'y employaient à outrance et les jeunes faisaient volontairement deux services militaires en France et en Israël (en second) a fin de reseigner sur ce qu'ils ont observ& auparavant.Certaines taupes ont prétendu revenir dans leur pays de naissance en pleurnichant.DEMASQUES A TEMPS ILS FURENT BANNIS A JAMAIS;
Des sites à Ouled Fayet, Reghaïa et au Sahara filmés par le satellite espion eros b L'Otan aide Israël à espionner l'Algérie et la Méditerranée
Citation :
La récente révélation sur l’espionnage par Israël de sites militaires et de recherche scientifique en Algérie, spécialement des installations militaires à Reghaïa, Ouled Fayet et dans le Sud algérien Aïn Ouassera et Birine, révélé par Defense Update, ne doit pas être évaluée hors du contexte de géopolitique internationale actuel, comme elle se doit d’être imbriquée dans la poussée diplomatique de Tel- Aviv, auprès de l’Otan, et remarquée depuis 2007, pour avoir une place dans le processus atlantiste «Dialogue Méditerranée». Bien plus encore, Israël avait carrément demandé à l’Organisation atlantique d’avoir un droit de regard sur la berge sud-ouest de la Méditerranée, estimant que le détroit de Gibraltar donne accès annuellement, à des millions de navires marchands et autres bâtiments, et que cela peut comporter une menace pour Israël si un navire malintentionné projette de continuer sa course vers l’est du bassin méditerranéen.
Cette «exigence» israélienne avait été dénoncée par certains membres de l’Otan, mais la demande n’a pas été retirée pour autant, les chefs actuels de l’Otan, largement dominés par la doctrine militaire américano-israélienne, préférant gérer la demande «intelligemment», soit en procédant à une connexion d’Israël au groupe de travail arabe, soit en procédant par le biais même des forces de l’Otan, à des opérations militaires ponctuelles qui renforceraient surtout les États-Unis et son allié Israël.
Ainsi, les opérations d’espionnage révélées par Defense Update suivent cette logique, qui, selon Israël, cherche à se prémunir contre toute action malveillante, loin des côtes israéliennes, à l’embouchure de la Méditerranée avec l’Atlantique. Récemment encore, le Centre d’études et de recherches de Yafa révélait qu’Israël disposerait d’un réseau d’espions du Mossad et ciblerait l’Algérie à partir de la Tunisie.
Le contrat d’armement signé entre Alger et Moscou a fait passer des nuits blanches aux chefs du Mossad, qui avaient dès lors axé une partie de leurs efforts sur la découverte du dispositif et des potentialités militaires de l’Algérie. Selon Tel-Aviv, «après la livraison des quatre premières batteries de S-300 PMU2 missiles sol-air en provenance de Russie, l’Algérie a commencé à perfectionner les systèmes, pour, en partie, remplacer les anciens S-125 (SA-3) des systèmes».
Dans les images satellites publiées, et qui ont été prises récemment par le satellite espion Eros B, exploité par la société de services géospatiaux «ImageSat International», «deux sites des SA-3 sont considérés convertis pour servir le S-300». Étaient mis sous la loupe du satellite «le site SA-3 SAM à Ouled Fayet, le SA-3 site à Reghaïa, à l’est d’Alger, qui a été converti en S-300 PMU2 entre 2008 et 2011. Les quatre images qui apparaissent sur l’écran montrent, selon Tel-Aviv, comment le vide SA-3 site à Reghaïa, à l’est d’Alger, comme il était en 2007 ».
«Un autre site de SA-3, selon Tel-Aviv, situé à l’ouest de Alger, à la banlieue de Ouled Fayet, a été transformé en une S-300 PMU2 site dans les trois dernières années.» L’activité de formation a également été aussi espionnée à Boudouaou, à l’est de la capitale.
L’image montre une formation S-300 PMU2 unité avec 64N6 systèmes de volets Big-Bird et 30N6 radars déployés séparément des-300 S lanceurs. Selon des sources militaires israéliennes elles-mêmes, le Mossad s’intéresse particulièrement à l’activité militaire et de recherche en Algérie. Aussi, ses agents et ses sous-traitants tentent, pas divers biais, de percer à jour ce qui reste dans la doctrine militaire israélienne «l’énigme Algérie».
Une base militaire israélienne en Libye près des frontières avec l’Algérie
Citation :
Selon un document écrit en hébreu, un accord a été signé entre Israël et le Conseil National de Transition (CNT) libyen à Benghazi, concernant l’installation d’une base militaire sioniste dans la région de Djebel Akhdar, pour une durée de trente années dans le cas où ces derniers arrivent au pouvoir
Le document qui comporte la mention « Forces de défense israéliennes », reçu par un officier ukrainien, révèle le contenu de l’accord signé entre Israël et le Conseil national de transition libyen à Benghazi, qui consiste en l’installation d’une base militaire sur les frontières libyenne, alors qu’Israël soutien l’opposition libyenne en lui fournissant des armes, en faisant des pressions sur les pays européens pour reconnaitre le CNT et entraînant les membres de l’opposition dans le but de préparer une armée forte. L’intensification des frappes aériennes de l’Otan contre les forces pro-Kadhafi pour l’obliger à quitter le pouvoir fait parti de la stratégie.
Le document en question a soulevé beaucoup de doute, selon des observateurs, étant écrit de gauche à droite. Aucune réaction de la part de l’opposition libyenne à Benghazi pour confirmer ou infirmer ces informations.
Les pro-Kadhadi distribuaient le document dans le but de convaincre et de monter l’opinion générale dans les pays voisins contre l’opposition. Dans le cas ou l’information est confirmée, l’Algérie serait le plus concerné par la présence des sionistes sur les frontières avec la Libye et permettra à l’organisation du groupe salafiste pour la prédication et le combat, qui se fait appelé el Qaïda au Maghreb Islamiste (AQMI) d’avoir beaucoup plus d’arme pour mener ses opérations criminelles dans la région, après que ses activités ses sont étendues au trafic que drogue et des armes. L’organisation terroriste trouvera un environnement propice à ses activités à l’ombre de la présence sioniste, surtout que l’Algérie est le pays le plus hostile à l’entité sioniste
[center]Document : ces soldats israéliens qui brisent le silence L'organisation de défense des Droits de l'Homme Shovrim Shtika (Brisons le Silence - Breaking the Silence) publie son nouveau rapport disponible ici en intégralité.
Fondée par d'anciens soldats israéliens, l'ONG collecte les témoignages de militaires ou d'ex-militaires faisant le récit d'actes ou de comportements leur paraissant contradictoires avec les droits humains fondamentaux.
Le nouveau recueil de témoignages publié par Breaking the Silence se concentre sur des situations impliquant des enfants et des adolescents palestiniens, entre 2005 et 2011.
La force de ces récits réside dans le fait qu'ils émanent de citoyens et de soldats (ou ex-soldats) qui estiment avoir été les auteurs ou les témoins d'actes peu conforme à leur conception du respect des Droits de l'Homme.
Interrogée par RFI, l'armée israélienne a communiqué la réaction suivante à la publication du rapport :
"Breaking the Silence has been asked numerous times to reveal the testimonies and claims they collect regarding IDF activity prior to publication in order to check and verify their claims. As a matter of policy, the organization chooses not to provide the IDF and other relevant bodies with the critical material necessary for investigation. This policy prevents IDF investigative authorities from addressing these claims. By compiling testimonies over long periods of times and refusing to provide additional details, the organization proves its true intentions - rather than facilitating proper investigation, the organization seeks to generate negative publicity regarding the IDF and its soldiers. The IDF has in the past, and continues to, call upon the organization to immediately convey complaints or suspicions of improper conduct to the relevant authorities. In line with the IDF's ethical commitments, any such incidents will be thoroughly investigated." http://jerusalem.blogs.rfi.fr/sites/jerusalem.blogs.rfi.fr/files/BreakingtheSilence2012.pd
Les enfants palestiniens victimes des violences israéliennes
Les enfants palestiniens sont régulièrement victimes de violences de la part des soldats israéliens. Le constat n'est pas nouveau mais il est pour la première fois corroboré par le témoignages de militaires israéliens. L'association israélienne Briser le silence sort ce dimanche 26 août 2012 un rapport qui rassemble les récits de plusieurs dizaines de soldats. Tous affirment que même lorsque la situation est calme, les enfants palestiniens sont quotidiennement victimes de ces violences arbitraires. Yehuda Shaul, ancien soldat et membre de l'association Briser le silence, livre son témoignage.
« Ce qui est flagrant, c'est que pour l'armée, pour les soldats sur le terrain, il n'y a aucune différence entre un enfant palestinien et un adulte palestinien. Pour eux, les Palestiniens sont tous les mêmes. Si un enfant de douze ans, ou un jeune de quatorze ans se trouve devant un soldat, son âge n'a pas d'importance. C'est ce qui ressort des témoignages.
On peut tirer pour tuer sur un jeune palestinien qui lance des cocktails Molotov à deux cents mètres d'une colonie. Même si à cette distance, il ne menace pas la colonie. L'ordre est que si quelqu'un lance un cocktail Molotov on peut le tuer, alors on tire. On arrête des enfants palestiniens, sans se soucier de savoir ce qu'ils ont fait, et on les frappe comme n'importe quel détenu. Parce ce qu'on est habitués à cela. On ne fait plus attention au fait qu'il s'agisse d'un enfant. C'est juste un détenu. C'est ce qui arrive, c'est la routine.
La première fois qu'on entre dans une maison palestinienne, on voit des enfants pleurer, parce que cela fait peur de voir débarquer dans sa chambre un soldat casqué et armé à trois heures du matin, la première fois, on ressent quelque chose. Mais après cela devient une chose habituelle et on ne ressent plus rien. Parce que c'est la routine. Le quotidien c'est d'arrêter des gens, cela peut être des enfants ou des adultes, et on ne fait plus attention à la différence. Tous les Palestiniens sont dans le même panier ». http://www.rfi.fr/moyen-orient/20120826-palestine-violences-israel-enfants-victimes
air-force fondateur (Administrateur)
Sujet: Re: actualités israelienne (économies politiques militaire ) Dim 13 Oct - 11:18
traduction Google
Citation :
L'escadron basé au sol gardant la frontière syrienne
Avec l'utilisation alléguée de mercredi par les forces d'armes chimiques plongeant le conflit syrien à un nouveau nadir d'Assad, le missile Tammouz fournit une ligne de défense vital sur la frontière nord
Citation :
Pendant la Seconde Guerre du Liban, qui a pris fin il ya sept ans ce mois-ci, une équipe de reconnaissance IDF, ancrée dans le sol au-dessus Rashef dans le sud du Liban, a été chargé d'une double mission - à l'intelligence relais sur le village à la commande de la division et, si nécessaire, de faire appel à des tirs directs sur l'ennemi.
Après plusieurs jours de calme activité Hezbollah, de l'équipe commandant tacheté , y compris un motocycliste armé allées et venues de ce qui semblait être une structure de commandement. Il a communiqué par radio avec la force de l'air , en demandant à la grève , mais on m'a dit que la FIA a par ailleurs été engagée. Au lieu de cela , l'officier des forces spéciales , qui avait travaillé avec l' armée de l'air à plusieurs reprises au cours de ses années de service dans le sud du Liban , a été mis en contact avec un bataillon d'artillerie standard.
L'officier appelé dans les coordonnées exactes de la structure. Les tours sont tombés à l'air libre . Vous avez manqué , il a indiqué .
La batterie d'artillerie a fourni plus de feu . Vous avez raté encore une fois, dit-il.
Cela s'est répété plusieurs fois jusqu'à ce que finalement l' officier d'artillerie a dit le commandant sur le terrain que l'atterrissage des tours à quelques centaines de mètres des coordonnées ont été considérés comme un coup direct dans les circonstances et, par conséquent , il avait rempli sa mission et a été de passer à d'autres cibles.
L'officier des forces spéciales , qui savait que l'une des brigades de la division a été créée pour envahir le village bientôt , ne pouvait que hausser les épaules amèrement et répéter que la structure n'a pas été rayé.
Aujourd'hui, les officiers d'artillerie disent , ce genre de scénario est de plus en plus improbable. Le corps d'artillerie fois rabaissé a grossi en taille de 30 pour cent au cours des quatre dernières années, et aujourd'hui se considère comme bien plus qu'un simple mécanisme de soutien pour les troupes de première ligne . Mis à part l'exploitation du , l'homme a lancé drones Skylark portable pour les troupes d'infanterie et le réseau, reportez -shoot de radars , il a changé son orientation de pulvérisation coquilles incurvée trajectoire de roquettes guidées - un changement qui a commencé pendant la deuxième guerre du Liban et a intensifié dans l'intervalle.
Une formation de soldat avec l'homme-portable et lancés à la main Skylark mini-UAV. (crédit photo: Courtoisie: l'Unité de Tsahal porte-parole
Citation :
Le corps ne passe pas par un changement important - il est passé par une " , a déclaré le major Efi Mizrachi , le chef instructeur à l'École d'artillerie de campagne , qui a parlé à la fois d'Israël lors d'un exercice récent.
La principale raison de ce changement est que l'artillerie , qui a atteint son apogée efficace horriblement pendant la guerre des tranchées de la Première Guerre mondiale , est mal adapté à la modernité champ de bataille de l'Est du Moyen-Orient où des hommes armés et les escadrons de roquettes se cachent parmi les civils , et la direction politique de la terreur organisations comme le Hamas et le Hezbollah mettent à profit toutes les victimes civiles dans la poursuite de leur cause.
Le chef de l' état-major général , le lieutenant général Benny Gantz , habilement résumé la situation en Mars lorsque , lors d'un discours à l'Institut d'études de sécurité nationale à Tel- Aviv, il a dit que , dans le passé , un commandant ferait le tour de populations civiles sur la carte et assurez-vous de garder toutes les opérations de combat au-delà de ces zones. Aujourd'hui, at-il dit , c'est exactement dans ces milieux que les opérations de combat doivent être lancées . «Nous n'avons plus le privilège de ne pas traiter avec elle , " at-il déclaré .
«Si je n'ai pas l'artillerie de précision , je n'ai pas tirer. Peut-être qu'ils l'ont fait dans le passé, mais il ya des civils partout. Ce n'est pas un endroit pour une arme statistique »
Gantz a depuis dévoilé un changement radical dans les plans futurs de l'armée israélienne , en se concentrant sur les sans pilote engin air - naval - et -land et de renseignement , ainsi que d'autres systèmes de pointe , tout en économisant sur blindés et l'artillerie et du personnel.
Pour Israël et les corps d'artillerie de l'armée israélienne , la question de la lutte contre un ennemi intégré au sein d'une population civile remonta à la surface pendant le siège de Beyrouth en 1982, et est devenu plus central avec chaque conflit ultérieur. Dans le sud du Liban en Avril 1996, lors Opération Raisins de la Colère , une force sous le commandement de l'actuel ministre de l'Economie, Naftali Bennett, appelé pour la couverture d'artillerie sous le feu ; quatre obus tombe dans une base de l'ONU à proximité - sa proximité servir comme un atout tactique clé pour le Hezbollah - et tué 102 civils et en ont blessé 100 autres , dont sept employés de l'ONU . Israël a toute l'opération à un arrêt brusque .
Dans la bande de Gaza , et en particulier pendant l'Opération Plomb Durci en 2008-9 , le nombre de victimes civiles grande menace non seulement l'opération elle-même , mais réputation internationale d'Israël ainsi .
Un officier supérieur de la Southern Command , scrutant le paysage urbain dense de Bet Lahiya , a déclaré au Times d'Israël lors d'une récente visite de la frontière entre Gaza et que, «Si je n'ai pas l'artillerie de précision , je n'ai pas tirer. Peut-être qu'ils l'ont fait dans le passé, mais il ya des civils partout. Ce n'est pas un endroit pour une arme statistique. "
La même chose est vraie le long de la frontière syrienne , où Israël a depuis plus de deux ans regardé le déroulement de la guerre civile brutale - qui a atteint un nouveau nadir mercredi avec l'utilisation présumée d'armes chimiques par les forces du régime de tuer des centaines .
Israël n'a pas été épargnée par le conflit , et a répondu aux récents incendies transfrontalière sur le plateau du Golan à au moins quatre reprises. Chaque fois qu'il a utilisé le missile Tammouz . Un GPS équipée, opérateur - guidée, non Line of Sight missile , le Tammuz peut être monté sur un véhicule de transport du personnel armé, ou même transporté à pied dans le champ. Avec une portée maximale de quelque 25 kilomètres , c'est l'arme phare du corps d'artillerie - le symbole de la transformation de l'appui de l'échelon arrière à ce qu'un commandant de compagnie dans l'unité , le capitaine A, a déclaré dans une interview téléphonique a été , s'apparente à " l' armée de l'air des troupes au sol. "
Citation :
En fait, Brig . Le général David Suissa , l'ancien commandant du corps d' artillerie , a déclaré Walla nouvelles l'an dernier que le corps d'artillerie , qui numériquement est toujours dominé par le 40 -year-old 155mm . M109 canons , mais est de plus en plus vont dans le sens de systèmes de roquettes MLRS guidées par GPS et de missiles Tammuz , a subi " une révolution qui sera mis en avant dans la prochaine guerre . " ( Le Tammuz a été largement utilisé pendant la Seconde Guerre du Liban mais le cœur de la puissance de feu de l'armée israélienne était toujours le vieux canons de 155 . )
Le Tammuz , déclassifié en 2011, a d'abord été mis au point pour lutter contre les divisions blindées . Colonel Benny " Benga " Beit -Or , un ingénieur qui avait servi en tant que chef du développement des armes pour les forces terrestres de Tsahal , conçu l'idée d'une division des troupes réservoir de chasse , équipé de missiles de longue portée capables d' atteindre une cible mouvante . L'idée était de contrer la supériorité quantitative de la Syrie dans l'armure . L'armée israélienne a appelé Beit -Or dans les réserves et amélioré le projet à un niveau d'urgence de l'urgence.
Beit -Or a choisi la conception gagnante de Rafael Defense Advanced System et en mai 1986, le nom de la nouvelle division chargée de l'exploitation de l'arme " Slingshot de David » - une indication claire de la façon dont il vit la petite arme intelligente et son efficacité contre les colosses adversaires blindés. L'unité enrôlés chargé de l'exploitation des missiles serait appelé " Moran " et plus tard " Meitar . "
Depuis cinq ans, les missiles très petites , connues sous le nom de Spike en anglais , n'ont pas été effacés pour une utilisation opérationnelle . Cela a changé au printemps de 1992, lorsque le lieutenant-général Ehud Barak , le chef d'état-major général , chargé son vieil ami et compagnon unité Brig . Le général Amiram Levin à ce que les agents spéciaux ops IDF appellent souvent « un projet. " Dans ce cas: l'assassinat de Saddam Hussein.
Levin, qui a continué plus tard à la tête du Commandement du Nord et a servi comme directeur adjoint du Mossad, a eu l' idée d'utiliser le missile Tammouz pour l' assassinat ciblé . Le plan , tel que prévu récemment sur l'émission de nouvelles Uvda , était d'attendre que ce soit pour ou induire la mort de l'oncle bien-aimé de Saddam Hussein, Talfah Hirallah , qui a été traitée dans un hôpital de Bagdad. Une fois qu'il est mort ou approché la mort, une équipe de commandos d'élite serait entrer en Irak , l'avance de la ville natale de la famille Hussein en dehors de Tikrit , se positionner sur la périphérie du cimetière local, et de tuer Saddam , avec un missile Tammouz guidée, alors qu'il se tenait immobile sur la tombe de son oncle.
«Dans l'état-major général ils ont compris qu'ils avaient une arme qui sait comment attaquer d'une manière super précis , sans causer de dommages involontaires , d'autant plus que la terreur fonctionne dans un environnement civil '
Le plan échoua , le 5 Novembre 1992, lorsque , avec une grande partie de l'état-major de la fréquentation, les soldats de l'unité d'élite Sayeret Matkal tiré un missile en direct lors d'une marche à sec et tué cinq de leurs camarades commandos .
Après cela, le missile a été abandonné pendant 12 ans. Ce n'est qu'en 2004 , avec Gantz servant de Northern Command OC et ministre de la Défense Moshe Yaalon comme le chef de l'état-major , était le missile sorti des temps de guerre usage unique et autorisé pour une utilisation opérationnelle une fois de plus . En Novembre 2005, en réponse à une Hezbollah contrarié prise d'otages dans la ville septentrionale de Rajar , les soldats de Meitar tiré l'arme pour la première fois , prenant deux positions du Hezbollah . «En ce qui nous concerne , le barrage avait été défoncé , et l'état-major général ils ont compris qu'ils avaient une arme qui sait comment attaquer d'une manière super précis , sans causer de dommages involontaires , d'autant plus que la terreur fonctionne dans un environnement civil » le lieutenant-colonel A, le commandant de Meitar , dit nouvelles Walla.
Pendant la seconde guerre du Liban (2006), l'Opération Plomb Durci ( 2008-9 ) , et l'opération Pilier de la défense ( 2012), le Tammuz a été congédié souvent et avec un effet dévastateur . Un caporal , un soldat de l'unité qui a récemment terminé sa formation et a commencé son service opérationnel a déclaré dans une interview téléphonique que "de 2006 à 2009, nous avons éliminé la plupart des terroristes de n'importe quelle unité de l'armée israélienne , toutes proportions gardées . "
Entretiens avec le soldat et un commandant de compagnie dans l'unité éclairent la fonctionnalité de formation et de fonctionnement de cette arme offensive et défensive , que le commandant de l'unité a dit Walla était comme un hélicoptère d'attaque " avec la seule différence étant qu'ils doivent aller en l'air , puis appuyer sur un bouton et nous avons juste à appuyer sur le bouton . "
Cap . A, un commandant de compagnie dans l'unité Meitar , qui se consacre exclusivement au missile Tammouz , a déclaré que lors du recrutement , il est pour les soldats qui sont technologiquement avertis, capables de travailler efficacement avec les autres sous la contrainte, et capable de naviguer et de passer de longues périodes dans le champ .
Sur la base de leurs compétences , les soldats sont divisés en deux équipes parallèles. Cap . A appelaient une «équipe affût » et « missilologists . "
Major Doron Campbell, le commandant de l'opération Bramble - le nom tongue-in -cheek donné à la Saddam 1,992 mission d'assassinat avortée - et , à l'époque, le commandant adjoint de l'unité de commando Sayeret Matkal élite, dit Omri Osenheim de Uvda que son vigueur a également été divisé en deux. L' équipe vers l'avant , dirigée par Campbell, était de se positionner " 100-200 " mètres du cimetière. Lourdement camouflé , ils feraient rapport à l'équipe à l'arrière , les clueing pour la position et la tenue de Saddam et toute autre information qui pourrait aider les opérateurs guider le missile vers la cible.
Aujourd'hui, selon des sources militaires , les hauteurs du Golan sont dans une large mesure être surveillé par les opérateurs de missiles Tammuz , ce qui permet à Israël de protéger sa frontière avec la Syrie contre une charge soudaine de la citerne sans armure d'amasser
À l'arrière, à quelque 12 kilomètres du cimetière , les opérateurs Tammuz seraient stationnés . Ils devaient transporter 10 missiles , et ils devaient être équipés d'écrans qui s'affichent images de la caméra de la pointe du missile. Campbell a dit qu'une fois le missile, qui se déplace le long d'un chemin en forme de trapèze , a chuté de son nez et fonça sur la cible , les opérateurs , la recherche d'une cible de taille humaine plutôt que d'un réservoir , aurait eu deux secondes pour le conduire à l' désirée emplacement.
" Fondamentalement, il ya deux parties dans l'unité », a expliqué le caporal A, un nouvel immigrant et soldat solitaire de San Francisco. " Ceux qui restent propres et ceux qui salir. "
Il a évoqué le fait que l'unité de l'avant, connu sous le nom de l'entreprise reconstruction , doit être capable de parcourir de longues distances à pied, portant des quantités importantes de poids et d'être en mesure de rester sur le terrain aussi longtemps que nécessaire. Les opérateurs de missiles doivent être technophile , le point sous pression et habile . Le coût élevé des missiles , jusqu'à 500.000 shekels chacun (environ 135.000 dollars) pour les plus avancés du lot , signifie que les soldats surtout parfaire leurs compétences sur un simulateur qui les teste contre un choix de décors conçus sur mesure et l'évolution des scénarios . À certains moments, la bonne réponse , le capitaine Un indiqué , est d'orienter le missile raté leur cible et éviter la perte de vies innocentes .
Aujourd'hui, selon des sources militaires , les hauteurs du Golan sont dans une large mesure gardée par les opérateurs de missiles Tammuz , ce qui permet à Israël de protéger sa frontière avec la Syrie contre une charge soudaine de la citerne sans armure d'amasser , et permettant aux décideurs de riposter en Syrie sans tort frapper la mauvaise cible .
L'utilisation la plus récente du missile Tammouz était le samedi soir , le 17 Août , éliminant une position syrienne près de la ville de Brieka , en face du centre du plateau du Golan , après plusieurs mortiers ont été tirés en territoire israélien. Pour les trois mois précédents , depuis le 21 mai du côté israélien de la frontière avait été relativement calme , hantée seulement par les sons et les images de la guerre . Le commandant de l'unité , cependant, a averti que le calme pourrait être brisée en quelques secondes , forçant ses soldats à " agir chirurgicalement contre une masse de cibles ". Utilisation alléguée de mercredi d'armes chimiques par les forces d'Assad a souligné potentiel continu du conflit de surprendre et d' horrifier nouveau.
Un caporal n'était pas concerné . Il a décrit immigrer en Israël et le bénévolat spécifiquement pour Meitar en raison de son admiration pour son conseiller de camp israélien qui avait servi dans l'unité . Il a dit qu'il voulait faire quelque chose qu'il croyait en plutôt que de « passer quelques années au collège à essayer de comprendre ce qu'il faut faire . "
Plutôt que de laisser tomber une bombe géante sur une population civile , at-il dit , le missile Tammouz permis à l'armée une alternative précise , qui peut être livré à son objectif grâce à une forte population civile . «Fondamentalement, " at-il dit , " nous pouvons faire beaucoup avec très peu . "