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 résistance palestinienne

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MessageSujet: résistance palestinienne   résistance palestinienne I_icon_minitimeDim 17 Avr - 15:32

résistance palestinienne Ay2fku080u

Chronologie de la Palestine (1947-2010)
29 novembre 1947 : l'ONU adopte un plan de partage de la Palestine en deux Etats indépendants, un juif et un arabe. Jérusalem est placé sous régime international
29 novembre 1947 : l'ONU adopte un plan de partage de la Palestine en deux Etats indépendants, un juif et un arabe. Jérusalem est placé sous régime international

Ce que le printemps arabe change aux relations israélo-palestiniennes
Les révolutions en cours dans le monde arabe, particulièrement en Egypte, ont ébranlé la "paix froide" établie entre Israël et Gaza.

De manière indirecte, l'escalade en cours entre Israël et le Hamas apparaît comme un des effets induits des révolutions arabes. Certes pas en raison d'une quelconque revendication démocratique, mais à cause de la désorganisation du schéma général qui cantonnait le Hamas à certaines limites.

L'Egypte, on le sait, jouait un rôle essentiel dans le contrôle de la bande de Gaza et, dans la "paix froide" qu'elle entretenait avec Israël, elle occupait la fonction de modérateur des Palestiniens. Le Caire faisait à la fois la chasse aux tunnels, par lesquels transitent les marchandises mais aussi les armes qu'utilisent les mouvements rangés du côté de l'action violente, et assurait une mission de médiation entre les frères ennemis du Hamas (Gaza) et du Fatah (Ramallah).

Cette double vocation de dialogue et de répression s'est brusquement atténuée depuis la chute de Moubarak. L'Egypte est confrontée à de tels enjeux intérieurs qu'elle semble avoir lâché la bride aux extrémistes palestiniens. Lesquels profitent également d'un contexte de blocage sans égal.

A l'ouest, le Hamas est toujours placé au ban des nations démocratiques et figure sur la liste des organisations terroristes des Etats-Unis et de l'Union européenne. A l'est, le chef de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, dont le mandat a officiellement expiré en 2009, est toujours en fonction après avoir déclaré qu'il ne le serait plus; c'est dire s'il est discrédité et dépourvu d'appuis, son maintien au pouvoir ne s'expliquant que par l'absence totale d'alternative sérieuse.

Quelle réconciliation entre le Hamas et le Fatah?

En tentant de se réconcilier, deux branches vermoulues ont-elles une chance de reconstruire un avenir sain pour un peuple abandonné à lui-même, jusqu'ici laissé à l'écart du "printemps arabe"? C'est en tout cas ce que tentent en désespoir de cause le Hamas et le Fatah, réconciliation chaotique et hypothétique qu'Israël voit du plus mauvais oeil.

Le grand projet de Mahmoud Abbas est d'obtenir, dès cette année, une reconnaissance officielle de l'Etat palestinien par l'ONU à travers l'obtention d'un siège de membre de plein droit des Nations Unies; pour cela, il lui est indispensable de resouder l'arc brisé en 2007 par le coup d'Etat du Hamas contre le Fatah à Gaza.

C'est sur cette toile de fond que se déchirent, visiblement, les différentes factions palestiniennes afin de pousser leurs pions, jeu complexe dont les franges extrêmes profitent pour recourir à la violence. Combien d'innocents -civils israéliens directement visés ou civils palestiniens touchés par les mesures de rétorsion- vont encore devoir en pâtir? Après avoir assisté aux renversements de certains régimes arabes, les Palestiniens jouent leur propre partition qui vise bien moins la démocratie que l'acquisition du statut d'Etat. Israël se trouve à la fois face à un nouveau défi et face à ses responsabilités



L'Autorité palestinienne prête à gouverner, affirme un rapport de l'ONU
L'Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas est largement prête à gouverner un potentiel Etat de Palestine, affirme mardi un rapport de l'ONU publié à Jérusalem.
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MessageSujet: Palestine, l'heure de vérité    résistance palestinienne I_icon_minitimeDim 24 Avr - 17:45

par Notre Bureau De Bruxelles : M'hammedi Bouzina Med

Quand les bruits de couloir ne sont plus audibles, nous nous faisons un plaisir de vous les faire parvenir. Musique.

D'étranges attitudes politiques agitent la diplomatie israélo-européenne depuis les soulèvements populaires dans les pays arabes. Au même moment où les peuples tunisien et égyptien envahissaient la rue pour exiger la chute des régimes corrompus et iniques qui les gouvernaient, 26 leaders européens signaient en ce mois de décembre 2010, un appel demandant "le boycott et des sanctions contre l'Etat d'Israël pour la poursuite de sa colonisation des territoires palestiniens", sans qu'ils soient entendus par leurs Etats. Depuis, le gouvernement israélien multiplie les pressions diplomatiques pour convaincre l'Autorité palestinienne à reprendre le "dialogue" pour, semble-t-il, hâter la création de l'Etat palestinien. Etrange et incompréhensible discours de l'Etat hébreu qui déclare vouloir la paix et l'indépendance en Palestine alors qu'il intensifie son occupation par la violence et l'isolement de Ghaza. L'Union européenne, elle, après un moment d'hésitation, a fini par tenir, le 22 février, sa traditionnelle réunion du Conseil d'association UE- Israël. Les Européens ont répété, comme depuis 1967, leurs critiques et condamnations de la politique coloniale d'Israël, sans que ce dernier ne s'en émeuve. Ce 22 février, Avigdor Lieberman, ministre des Affaires étrangères israélien a, sans aucune gêne, répondu aux Européens par son "impatience" à la reprise des négociations avec l'Autorité palestinienne. Cet empressement du gouvernement israélien à faire revenir l'Autorité palestinienne à la table des négociations vise, en réalité, deux objectifs: torpiller le travail que mène depuis quelques mois l'Autorité palestinienne pour la proclamation de son indépendance, donc d'un Etat dans ses frontières légitimes de 1967, et faire porter la responsabilité de l'échec des négociations, voulues et menées sous les auspices de la communauté internationale, aux Palestiniens. Il faut que M. Avigdor Lieberman nous explique son soudain empressement à dialoguer avec les Palestiniens et sur quoi porteront ces négociations, lui qui revendique tout Jérusalem et ce qui reste des terres de Cisjordanie. Lui qui nie le droit de la Palestine d'être et d'exister. Lui qui a demandé officiellement, au mois de janvier, l'envoi et l'installation d'une force armée européenne aux frontières de Ghaza pour étouffer encore plus les Ghazaouis dans leur prison. Demande rejetée, immédiatement, par la représentante aux Affaires étrangères de l'UE, Madame Catherine Ashton, en visite dans la région. Une vraie bataille diplomatique entre Israéliens et Palestiniens se joue sur la scène internationale et à laquelle les bouleversements politiques en Méditerranée et dans le monde arabe ne laissent pas beaucoup de visibilité dans les médias internationaux. Malgré cela, Israël ne cache pas son inquiétude devant la tournure des événements dans les pays arabes, en particulier ses voisins immédiats, tels l'Egypte, la Syrie et la Jordanie. Toute la question est de savoir si Mahmoud Abbas ne cédera pas à la pression diplomatique israélienne et mènera sa campagne jusqu'à la fin de l'été pour plaider devant l'Assemblée générale de l'ONU, en septembre, la reconnaissance officielle de l'Etat palestinien. Parce que Israël n'est pas seul à exercer des pressions pour faire revenir les Palestiniens à la table des négociations. La France, le Royaume-Uni et l'Allemagne se sont prononcés, en ce même mois de février, pour la reprise des négociations et ont rédigé un projet de résolution qui mentionne un tracé des frontières (provisoire) et des étapes pour la proclamation d'un Etat palestinien. Du coup, les USA ont opposé un net refus et reporté, sine-die, une réunion du "quartette" (USA, UE, ONU et Russie) chargé de superviser les négociations. Et c'est ce moment de confusion dans les arcanes diplomatiques que choisit le chef de l'Etat français, Nicolas Sarkozy, pour laisser entendre le soutien de la France à l'édification d'un Etat palestinien indépendant alors qu'il recevait, jeudi dernier, le chef palestinien Mahmoud Abbas. Une information transformée en exclusivité diplomatique par les médias français. Les Anglais, eux, n'ont pas fait tant de bruit en assurant, en ces moments de révolte arabe, Mahmoud Abbas du même soutien, ou des Américains qui sont à l'origine du "processus de paix". L'interrogation qui nous taraude n'est pas tellement d'apprendre le soutien sincère ou calculé des Européens, ou des Américains à la cause palestinienne, mais plutôt celle de savoir pourquoi Israël n'a jamais pris autant de terres aux Palestiniens, notamment dans Jérusalem-Est, que depuis qu'ils négocient la paix ? Après tant de promesses trahies, Mahmoud Abbas a toutes les raisons de ne pas céder aux appels "au dialogue" et de s'en tenir au seul objectif qu'il s'est fixé: la proclamation en septembre prochain d'un Etat palestinien indépendant, dans ses frontières de 1967, avec Jérusalem-Est comme capitale. Cela changera-t-il la situation des Palestiniens ? Cela aidera-t-il à la paix dans la région ? Difficile de le croire. En revanche, en persévérant dans leur combat pour la proclamation solennelle et unilatérale de l'Etat palestinien, les Palestiniens marqueront définitivement par la force du droit international l'irréversibilité de leur indépendance et l'existence de leur nation séculaire. C'est-à-dire tout ce que ne veut pas reconnaître Israël. Le moment est historique et propice à la réalisation du droit des Palestiniens d'exister: le monde arabe vit, lui aussi, sa révolution pour la liberté
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MessageSujet: Sahara Occidental : Le Polisario met à nu la France   résistance palestinienne I_icon_minitimeLun 25 Avr - 10:45

Djamel Boukrine.

«Nous ne demandons pas à la France de bombarder le Maroc comme elle le fait en Libye».

«Nous espérons voir le Conseil de sécurité décider un mécanisme de surveillance et de contrôle des droits de l’homme au Sahara Occidental», déclare Abdelkader Taleb Omar, le Premier ministre sahraoui, en marge du 6e congrès de l’Union nationale des femmes sahraouies (UNFS) qui a clôturé ses travaux hier à Aousserd.
Cet appel, le énième du genre, sera-t-il entendu vendredi prochain par l’instance onusienne lors de sa réunion pour proroger le mandat de la Minurso, mission des Nations unies pour un référendum au Sahara Occidental? Peu probable. Tout comme l’adoption d’une résolution pour l’organisation d’un référendum d’autodétermination promis aux Sahraouis par l’ONU en 1991 selon lequel «le peuple du Sahara Occidental choisira, librement et démocratiquement, entre l’indépendance et l’intégration au Maroc». Fait nouveau, les responsables sahraouis souhaitent cette fois voir le Conseil de sécurité renouveler le mandat de la Minurso pour six mois seulement et non pour une année, comme il est d’usage depuis la création de ce mécanisme onusien.
Le prochain congrès du Polisario pourrait opter pour le recours à l’action armée. En attendant ce congrès, les Quinze discutent sur la possibilité de confier au Haut commissariat pour les réfugiés installé à Genève la surveillance des droits de l’homme au Sahara Occidental.
Raison de cette réponse «honteuse» : la France, la patrie des droits de l’homme et dont l’engagement pour la défense des droits de l’homme dans le monde et des «révoltes arabes» est connu, s’oppose, dans la continuité de sa «relation privilégiée» avec le Palais royal, à tout élargissement de la Minurso. Même si de l’avis de tous les connaisseurs de ce vieux conflit, un changement de cap de la position française pourrait faire avancer les négociations entre le Maroc et le Front Polisario, sous les auspices de Christopher Ross et enlever à la Minurso sa singularité : celle de la seule mission de maintien de la paix de l’ONU à ne pas avoir une composante «droits de l’Homme» dans son mandat. Omar Mansour, le représentant du Front Polisario en France, appelle Paris à revoir sa position comme elle l’a revue lors de la «révolution du Jasmin» en Tunisie.
«Nous ne demandons pas à la France de bombarder le Maroc comme elle le fait en Libye, au nom des droits de l’homme, mais d’exercer une pression sur la monarchie marocaine afin de l’amener à respecter les droits de l’homme bafoués dans les territoires occupés», dit-il.
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MessageSujet: Accord de réconciliation interpalestinien : Grande satisfaction de l’Algérie   résistance palestinienne I_icon_minitimeSam 7 Mai - 7:37

L'Algérie a accueilli jeudi avec une "grande satisfaction" l'accord de réconciliation inter-palestinienne, signé le 4 mai dans la capitale egyptienne, indique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué
PUBLIE LE : 06-05-2011 | 19:38
L'Algérie a accueilli jeudi avec une "grande satisfaction" l'accord de réconciliation inter-palestinienne, signé le 4 mai dans la capitale egyptienne, indique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. "L'Algérie accueille avec une grande satisfaction la signature de l'accord de réconciliation inter-palestinienne le 4 mai 2011 au Caire, accord pour lequel elle a inlassablement plaidé", déclare le communiqué. "Elle exprime le souhait de voir cet accord sceller une réconciliation définitive et sincère qui permettra de renforcer la lutte du peuple palestinien", ajouté la même source. "L'Algérie saisit cette occasion pour réitérer son soutien à la cause du peuple palestinien et pour appeler la communauté internationale à faire sortir le processus de paix de l'impasse actuelle pour parvenir à une solution juste et définitive à la question de la paix au Moyen-Orient", conclut le ministère.

Publié dans : Palestiniens
http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/11782
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