en 2003 pure propagande de L'invasion, le 20 mars 2003, de l'Irak par la coalition menée par les États-Unis fut en effet une immense partie de poker menteur qui se solda par plusieurs centaines de milliers de morts. Dix ans plus tard, le bilan fait honte à une bonne partie des Américains eux-mêmes. L'Irak est loin, très loin, d'être cette démocratie rêvée par George W. Bush et ses éminences grises, ces néoconservateurs qui se refusent toujours à lever le voile sur les coulisses de ce conflit: le vice-président Dick Cheney, le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld ou bien son secrétaire adjoint Paul Wolfowitz…
sur soi disant des armes de destruction massive qui n'existaient pas,
d'où la non participation de la France