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 Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat

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la réouverture des frontières algerie maroc
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MessageSujet: Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat    Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  I_icon_minitimeMer 27 Avr - 16:16

Au-delà d'une frontière qui sera rouverte «tôt ou tard» : Signes de normalisation entre Alger et Rabat

par Salem Ferdi

La frontière terrestre entre le Maroc et l'Algérie fermée par Alger en 1994, à la suite d'une accusation marocaine infondée contre les services algériens d'avoir organisé un attentat à Marrakech et l'instauration du visa, sera rouverte «tôt ou tard». Le ministre algérien de l'Agriculture, Rachid Benaïssa, en visite au Maroc où il a signé un mémorandum d'entente visant à renforcer la sécurité alimentaire entre les deux pays, n'avait pas beaucoup d'effort à faire pour énoncer une vérité de La Palice. Mais le président de la République, lors de l'ouverture de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique», a esquissé un pas qui n'a pas été fait depuis longtemps en déclarant qu'il «n'existe pas de problème entre l'Algérie et le Maroc» et que le «problème du Sahara Occidental est un problème onusien. Le Maroc est un pays voisin et frère. Il faut coopérer et nous devons coopérer».

Ces derniers jours, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a évoqué le sujet sur la même tonalité. D'abord dans un entretien à la radio chaîne 3 où il expliquait que la frontière avait vocation à être ouverte mais qu'il serait «malhonnête» de fixer une date. Lundi, dans un entretien au journal Echourouk, M. Medelci a été un peu plus expansif. «Deux Etats comme l'Algérie et le Maroc avec des frontières fermées pour l'éternité, cela n'est pas raisonnable…. Il faut ouvrir les frontières, mais il faut créer les conditions. Quand cela sera décidé, cela sera appliqué de manière honnête et équilibrée, dans l'intérêt des deux parties. Comment parvenir à ce résultat ? Par les consultations entre les responsables. Nous avons entamé cela depuis trois mois. On s'est entendu sur l'échange de visites dans des secteurs très sensibles. On peut y arriver en poursuivant les consultations entre les deux parties. Cela a été entamé il y a trois mois et nous nous sommes entendus sur l'échange de visites dans des secteurs sensibles. Nous poursuivrons peut-être ces échanges de visites jusqu'à la fin de l'année. Il en sortira un programme de coopération dont les résultats peuvent inciter les deux à faire d'autres pas. Et pourquoi pas à ouvrir les frontières».

Ce discours, même s'il ne change rien sur le fond, est un progrès.

Fin de discordance ?

Dans les relations orageuses entre Alger et Rabat, il y a eu toujours une «discordance» de positions ou de priorités qui ont rendu impossible un retour à la situation, déjà pas enviable, d'avant la calamiteuse année 94 avec l'empressement marocain à accuser les services algériens et à imposer le visa et la riposte en escalade de l'Algérie de fermer les frontières. Les historiens des relations entre les deux pays observeront que pendant de très longues années, le Maroc a estimé que la question du Sahara Occidental est au cœur des relations avec l'Algérie. Et qu'il ne peut accepter l'idée de séparer une « question nationale vitale» du reste des relations. C'était la réponse permanente en forme de préalable à l'idée défendue pendant des années par Alger d'un découplage entre les deux questions.

Pendant longtemps, Alger a soutenu que le conflit du Sahara Occidental relève de l'Onu et ne doit pas interférer sur les relations bilatérales ou sur le processus maghrébin». Quelques années plus tard, on s'est retrouvé dans une inversion. Alger estime qu'il faut avancer de manière globale y compris dans le dossier du Sahara Occidental alors que Rabat, découvrant la stérilité de son «linkage», s'est mis à demander la réouverture des frontières.

Retour au découplage

Les déclarations de Bouteflika à Tlemcen constituent clairement un retour à la position algérienne initiale qui consiste à découpler entre le dossier du Sahara Occidental et les relations bilatérales. A défaut de s'entendre sur tout, Alger et Rabat se retrouvent, pour la première fois depuis 1994, en accord sur la même démarche de découplage. Les visites ministérielles qui se déroulent depuis trois mois permettent, à un niveau sectoriel, de donner une consistance à ce découplage qui permet d'avancer et de sortir de la stérilité. Le mémorandum sur la coopération sur cinq ans «pour assurer la sécurité alimentaire» signé par le ministre algérien et son homologue marocain Abdelaziz Akhanouch est d'une grande importance. Il répond à des besoins réels et permet de créer les synergies pour avancer.

Selon ce document, les deux pays prévoient un renforcement de leur coopération en matière de recherche scientifique, de production végétale et d'élevage ainsi que la lutte contre la désertification.» La signature de ce mémorandum prouve notre volonté commune pour développer notre coopération et le partenariat dans le domaine agricole (...) et pour améliorer la sécurité alimentaire», a déclaré Rachid Benaïssa. Il n'est jamais trop tard de sortir d'une approche stérile, les avis de chacune des deux parties sur la question du Sahara Occidental n'étant pas susceptible de changer. Il faut espérer que les deux parties s'en tiennent réellement à ce découplage entre le dossier du Sahara Occidental et les relations bilatérales pour sortir du surplace
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5152410


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MessageSujet: Re: Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat    Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  I_icon_minitimeMer 11 Mai - 18:01

Ben Bella, révèle les origines du Maroc et de défendre l'ouverture de la frontière avec Rabat

Ben Bella, révèle les origines du Maroc et de défendre l'ouverture de la frontière avec Rabat
Bouteflika''single et Ait Ahmed tribale plutôt que l'Algérie et Boudiaf pas la moindre idée de l'armée

Était l'ancien président Ahmed Ben Bella, pour la première fois, des remarques concernant le président Abdelaziz Bouteflika, a déclaré that''single''and déterminée au célibat, comme il le frère described''little'', alors qu'il a dit concernant le leader Hocine Ait Ahmed, that''more tribales de being''an algérienne, et la fin de Boudiaf a déclaré que he''does pas comprendre les choses dans le''militaire.
Dans une interview à l'hebdomadaire Jeune Afrique''if''and publié hier, a dit un magazine de nouvelles que Ben Bella a parlé de the''celibacy''President Bouteflika regret''said un homme de son âge ne se marient pas'','' se référant à l'insistance » «Bouteflika ne pas se marier. Il contenait les renseignements magazine sur le mariage de formule président est ce que j'ai dit à propos de Ben Bella dans le dialogue qui a eu lieu dans sa maison, la capitale de haut, avant la sortie de son livre sur la révolution, que le président, qui est âgé de 74 ans mais a été marié en secret, mais l'histoire de son mariage est resté l'un des Tabohat, que Bouteflika Amal Makki mariés en 1990, un diplomate algérien fille a travaillé pendant au Caire, la cérémonie de mariage a eu lieu dans la capitale, en présence du grand nombre de membres de sa famille et de la famille de l'épouse.
Le Président a été l'ancien support à la survie du président Bouteflika, au gouvernement, expliquant qu'il ne souhaite pas être exposé le système à trembler, comme en témoignent les régimes arabes et connaissent chaque de la Tunisie, l'Egypte, le Yémen et la Libye,''qu'il a dit ne le veux pas'', que le scénario de rupture ne vient pas de même pour l'Algérie, a déclaré Ben Bella,''nous avons le président ici et mieux de rester''. Bien qu'il a participé au coup d'Etat, Joan 65 ans, mais Ben Bella Bouteflika mauvaise considered''less'','' ajoutant que l'Algérie n'est pas facile, et de contrôler les Algériens, le fait n'est pas facile''.
Quant à Ben Bella révolutions dans la région arabe et dit that''the monde arabe live''ferment''considered''normal, comme les gens qui travaillent pour enlever la poussière des systèmes déployés à sa place, mais il a exprimé son rejet de l'utilisation de l'word''revolution''to décrire ce arriver.
Ne cache pas le premier président de l'Algérie indépendante, comme il est d'origine marocaine, soulignant que sa mère et son père, deux Marocains, même s'ils sont nés est élevé en Algérie, et édifiante pour atteindre le Maghreb uni et d'ouvrir la frontière entre l'Algérie et le Maroc, a dit que ce n'est and''must possible de la frontière ''ouverte.
Parlant Ben Bella, la création de l'Organisation pour l'année 1947, l'attaque armée qui a lancé l'e-mail et d'Oran, où le porte-parole a dit que c'était lui qui avait orchestré l'attaque, alors qu'il était Ait Ahmed a confirmé est celui d'avant il a été coulé dans son guerrier book''Memory'' . Le Ben Bella dans le dialogue qui respecte les Ait Ahmed, qui a été always''tribal et plus de it''an algérienne, mais il a souligné attaque that''the sur l'e-mail et Oran dans les moindres détails, j'étais derrière lui''. Il a également parlé d'une étincelle du premier Novembre 54, et dit that''the premier Novembre j'étais'','' quoted''Le Jeune Afrique que Ben Bella était toujours pas rancune à Abane Ramadan,''qui a tenté de l'empêcher de participer à la Conférence Alsomam.''1956
Et parlé de la fin du président Mohammed Boudiaf, où Ben Bella a dit de lui qu'il was''a véritable guerrier,''mais les questions understand''in was''not militaire
http://www.elkhabar.com/ar/politique/253047.html
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MessageSujet: Frontières terrestres algéro-marocaines    Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  I_icon_minitimeDim 22 Mai - 10:24

Des enjeux politico-économiques au cœur d’une région Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  0jrhy9izx7
Mardi 10 mai. Une journée ordinaire dans une ville peu ordinaire. À Maghnia, le sujet premier des discussions tourne autour de la prochaine réouverture des frontières, fermées depuis 1994. L’interrogation n’étant plus sur l’éventualité d’une telle opération, les spéculations tournent autour de la date de cette réouverture, une certitude dans la plupart des bouches maghnaouies.

Au-delà de l’aspect éminemment politique emballant cette décision, un leitmotiv qu’on retrouve dans les réponses officielles pour éluder la question, ce dossier, qu’Alger a toujours conditionné par le règlement de plusieurs points d’interrogation en suspens depuis des années de brouille, est perçu dans la ville frontalière comme une question de vie ou de mort. Économiquement s’entend.
Si la plupart des recommandations convergent vers le maintien de la fermeture des frontières terrestres avec le voisin marocain, chez les Maghnaoua la donne est tout autre. Les avis également. Même si aucun signe “officiel” permettant de préciser une date prochaine de cette réouverture n’est perceptible, la population locale s’accroche à des déclarations, des insinuations, des chuchotements et des rapprochements entre les deux capitales pour échafauder les scénarios les plus optimistes. Un sentiment d’autant plus renforcé que de l’autre côté des Douanes algériennes, les différentes sorties médiatiques des officiels marocains tendent à confirmer l’information. Des dates sont ainsi jetées en pâture à la vox populi, qui les reprend, leur appose aussitôt un cachet d’authenticité comme pour mieux se rassurer. Le 17 mai, le 21 ou encore le 25 reviennent le plus souvent dans les pronostics. Le 4 juin, jurent les plus avisés, ce qui coïncidera avec la tenue du match de Marrakech entre les Lions de l’Atlas et le onze national. Une sorte de pied de nez à l’histoire puisque la fermeture des barrières trouve son origine dans l’attentat commis, aussi à Marrakech, à l’hôtel Atlas-Asni, il y a de cela presque 17 ans, et les accusations de Rabat visant les services algériens d’avoir commandité l’attaque terroriste. De là à trouver des raccourcis, le pas est vite franchi par les inconditionnels du dégel des relations bilatérales et la réouverture des frontières.
Cependant, ce qui peut paraître à la limite du caricatural et prêter à la dérision, loin de lahdada, reste un sujet hautement sensible chez les gens du tracé frontalier qui attendent, espèrent et appellent ce “geste” au quotidien. “Il n’y a pas plus apolitique que les Maghnaoua”, dira en préambule Ahmed, une manière comme une autre de remettre les choses dans leur véritable contexte. La proximité du ciel alaouite, le cordon ombilical familial, la “démocratisation” de la contrebande ont jeté l’ombre de l’opprobre sur la région, suspectée d’intelligence avec l’ennemi. Une surveillance et un ostracisme qui ont fini par semer un sentiment de rejet doublé d’une volonté de révolte des locaux vis-à-vis des décrets et des décisions de la tutelle. “Tous les Maghnaoua ne sont pas des contrebandiers”, encore une négation d’un lieu commun devenu, presque, par la force du temps et des choses, la définition des frontaliers. “Maghnia est une ville frontalière comme il en existe partout dans le monde”, ajoutera Ahmed, un fils de la région, comme pour mieux dépassionner les débats. “Il existe une relation de sang, de religion et de race”, argumentera-t-il dans sa plaidoirie en faveur de cette réouverture qui a tant tardé. Maghnia tout entière est acquise à cette ouverture qui constituerait, à coup sûr, un ballon d’oxygène pour la région. Une théorie érigée en vérité pour expliquer les bénéfices de cette démarche tout en s’appliquant à rendre la fermeture des frontières responsable de tous les maux recensés le long du tracé frontalier.

Maghnia vit et respire lahdada
Un élu rencontré dans son bureau au siège de la mairie de Maghnia souligne l’importance vitale de la frontière dans l’alimentation des impôts locaux grâce, tout particulièrement, au droit de passage estimé à 100 DA, au moment du baisser de rideau. “En tant qu’APC, on est bénéficiaires économiquement et en tant qu’élus, on a aussi à gagner en échanges culturels et en expériences diverses”, dira-t-il, tout en gardant l’anonymat. À propos d’éventuelles demandes de préparation émanant d’Alger, prémices d’une prochaine réouverture, il répondra que tout le monde est dans le flou le plus total. “Personne ne pourra vous dire quand est-ce qu’elle rouvrira et si c’était le cas, la mairie est informée, au plus tard, 48 heures à l’avance pour préparer les alentours des postes frontaliers”. En l’absence de signaux forts, les Maghnaoua espèrent secrètement un remake de 1988 lorsque la frontière a été rouverte dans la discrétion la plus totale. “Au début, le passage n’était autorisé que pour les couples mixtes puis ce fut le temps des quotas avant de la libérer complètement”, se remémore Mohamed, la cinquantaine qui partage les espoirs de toute une population. Notre élu ira plus loin en endossant à cette fermeture, l’inflation trabendiste, le trafic de carburant et la naissance des fameux hallaba ainsi que la prolifération des constructions illicites. “On souffre de l’absence d’une main-d’œuvre qualifiée, on n’a plus de paysans et même les jeunes ont délaissé le travail manuel pour s’engager dans les projets financés par l’Ansej ou la Cnac”. Les Maghnaoua, qui croient dur comme fer à cette réouverture, se réfèrent, entre autres sources, à la déclaration du président de la République, lors de l’inauguration du palais royal du Méchouar à Tlemcen, sur la nécessité de faire appel aux artisans marocains pour les travaux de restauration des sites et monuments historiques étant donné, avait-il dit, leur grande expérience en la matière. Ce clin d’œil avait été assimilé à un signal fort pour la réouverture des frontières. Évoquer lahdada équivaudrait à s’engager sur un terrain où il n’est pas simple de départager les deux côtés d’une frontière qui court sur 400 kilomètres, tant les liens et les intérêts communs y sont légion.
La frontière ce sont aussi ces familles qu’un trait imaginaire sépare mais que tout réuni. Le patronyme, les liens du sang et surtout les intérêts nés de la seule véritable économie de la région, l’informel. Et Maghnia cristallise, à elle seule, toute cette méfiance et ces idées préconçues qui font de la ville, La Mecque de la contrebande. Maghnia, qui comptabilise 114 000 âmes, selon le dernier recensement de 2009, et 200 000 officieusement, charrie derrière sa réputation surfaite son lot de misère et de décrépitude jetant ses propres enfants dans les bras d’organisations criminelles pour finir en prison ou au cimetière. “90% de hallaba ne sont pas propriétaires de leur véhicule, ils travaillent au tiers avec tous les risques encourus”, nous expliquera un connaisseur du réseau, notre guide de conjoncture.
Du quotidien, les Maghnaoua retiendront les prix pratiqués pour les produits “importés” de l’extérieur. Des autres wilayas du pays. “La faute au PK 35, ils taxent les produits là-bas”, dira notre guide, en pointant un doigt vers l’horizon. Un déni de droit et un énième impôt à payer pour les frontaliers qui, à la longue, confondent réalité et sentiments de persécution. Pour Larbi Djillali, directeur régional des douanes à Tlemcen, le PK 35 n’est qu’un point de contrôle et de suivi de la marchandise qui rentre à Maghnia. “Les gens ne payent pas de taxe mais nous veillons à ce que la marchandise arrive à sa destination déclarée”.

La contrebande comme système économique
L’enjeu des frontières réside bel et bien dans la contrebande qui gangrène la région et l’économie de tout un pays. Si pour les autochtones, une certaine contrebande “soft” fait vivre toute une jeunesse désœuvrée au lieu de se tourner vers la drogue, il en est autrement pour les services des douanes dont les bilans annuels illustrent à souhait l’étendue de l’activité criminelle tout au long du tracé frontalier. “La contrebande est maîtrisée et gérée par les services marocains, aucun produit de première nécessité ne sortira de leur territoire, contrairement à nos contrebandiers qui exportent à peu près tout, principalement les produits soutenus, le cuivre, le carburant, les cigarettes, le lait en poudre, les fromages, les médicaments…”, énumérera notre interlocuteur. La liste des produits exportés est loin d’être exhaustive alors que le phénomène de la contrebande n’est pas normalisé en soit. Comprendre par-là qu’elle est tributaire de l’offre et de la demande des deux côtés de la frontière. “Les créneaux changent selon plusieurs critères, dont la sécurité et la disponibilité du produit”, expliquera M. Larbi.
La contrebande des produits à l’exportation a permis à certaines familles de s’enrichir en s’appropriant le segment de la cigarette ou du carburant. “La contrebande des cigarettes rentrées frauduleusement en Algérie à travers les pays subsahariens ou importées dans un cadre légal et acheminées vers les frontières et avec le taux de change parallèle, le paquet est revendu 3 à 4 fois sa valeur, c’est dire les bénéfices engrangés”, ajoutera M. Larbi. En 2010, les douanes ont saisi 19 030 cartouches de marque Legend et 2 083 cartouches de Marlboro, à titre d’exemple. Quant à l’autre juteux volet de la contrebande, il concerne le trafic de carburant. Un phénomène qui, paradoxalement, met à mal même le concept de l’ouverture ou non des frontières. “Il n’y a pas de loi qui interdit à un citoyen de faire le plein de son réservoir”, cette seule remarque suffit à illustrer la complexité d’un dossier qui ne se résume pas à la seule donne politique. Dans une région coupée du reste du pays, la frontière demeure la seule alternative à la survie. Poste frontalier de Akid-Lotfi, à une dizaine de kilomètres de Maghnia, en empruntant “trig Oujda”, le ciel, la terre et le néant. Voilà par quoi peut se résumer la frontière
Les barrières sont abaissées et El-Karia, l’autre nom donné par les autochtones au village de Akid-Lotfi, trahit toute la misère ambiante. À un jeune à qui on demandait si la frontière allait rouvrir, il nous répondra que c’est du pipeau “khorti” et que si on voulait traverser la frontière on n’avait qu’à le lui demander. Le Maroc est à peine à trois cents mètres de chez lui. Depuis l’ouverture de l’autoroute Est-Ouest, les hallaba sont arrivés jusqu’à Sidi Bel-Abbès et Aïn Témouchent pour assécher leurs pompes d’essence. Tlemcen, déjà sévèrement contaminée n’est plus aussi loin de la frontière. Les camions Renault, dont le réservoir peut contenir jusqu’à 400 litres d’essence, les Mercedes, R21 ainsi que les R25 annoncent Roubane. Un groupement de maisons à la situation administrative indéfinissable, qui est surtout connu pour être le déversoir de tous les hallaba. Un véritable réservoir à ciel ouvert. La procession des véhicules constitue un véritable pipe-line reliant les stations d’essence au territoire marocain. Le carburant est stocké ensuite dans des jerrycans qui sont planqués dans les maisons en attendant leur acheminement de l’autre côté du tracé à dos de baudet.
D’artisanale, la contrebande de carburant a connu, ces dix dernières années, un boum spectaculaire frisant l’échelle industrielle. Pour le directeur régional des douanes, les réseaux de contrabandiers classiques ne répondent pas à un organigramme défini, allant à l’encontre des idées reçues, mais il existe des barons de la drogue des deux côtés de la frontière. “La frontière est divisée en secteurs d’activité et il est extrêmement difficile de piéger les trafiquants de drogue qui utilisent de gros moyens. Chaque cargaison est accompagnée par six à sept véhicules d’escorte, les sentinelles, et la drogue peut être cachée dans n’importe quel véhicule d’escorte. Si on intercepte la mauvaise voiture, l’alerte est donnée et la drogue prend un autre chemin. Ce sont de gros moyens qui sont utilisés par ces trafiquants”. 1 683 kg de kif, d’une valeur de 67 millions de dinars, ont été saisis l’année dernière.
En attendant cette réouverture, la contrebande continue toujours de prospérer à l’ombre d’une politique
d’exclusion
http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=156374&titre=Des enjeux politico-économiques au cœur d’une région&
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MessageSujet: Les Etats-Unis favorables à la réouverture de la frontière algéro-marocaine   Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  I_icon_minitimeMer 25 Mai - 19:37

Les Etats-Unis affichent publiquement leur soutien à la réouverture de la frontière terrestre algéro-marocaine fermée depuis 1994. Le premier conseiller à l’ambassade américaine à Alger, William Jordan, a déclaré ce mercredi 25 mai à Oran que son pays était « favorable à la réouverture de cette frontière dans la mesure où une telle initiative contribuerait à la création d’une zone économique maghrébine ». Cependant, un tel projet ne peut aboutir s’il n y a pas intégration des deux acteurs, a-t-il estimé.

Des signes positifs laissent penser que cette réouverture de la frontière terrestre puisse être possible, a estimé M. Jordan. Il a ajouté que « la cessation des accusations de part et d’autre, l’échange de visites ministérielles entre les deux pays et les déclarations du ministre des Affaires étrangères algériens, Mourad Medelci sur le sujet sont très positifs et montrent que le débat est bien lancé. On espère que cela crée des conditions pour la réouverture des frontières », a-t-il dit.


Sur les opportunités de coopération entre l’Algérie et les Etats-Unis, William Jordan a clairement exprimé la volonté de son pays d’investir et d’établir des relations commerciales en Algérie malgré le contexte politique actuel des pays arabes et maghrébins. « Cette mission était programmée il y a longtemps et n’a aucun lien avec les révolutions observées ces derniers mois dans les pays arabes», a-t-il dit. Sur les dernières réformes décidées par le président de la République, le premier conseiller souligne que « ces réformes sont de nature politique et nous souhaitons qu’elles soient accompagnées de réformes économiques ».

Le président de l’US-Algéria Business Council, Ismael Chikhoune, présent également à cette rencontre, s’est longtemps étalé sur les projets en cours de négociation entre l’Algérie et les Etats-Unis. Il a cité le projet pour la réalisation de la rocade des hauts plateaux d’une longueur de 1.500 km, le projet pour la rénovation des locomotives diesel de la SNTF et enfin le projet de réalisation d’une usine de production de tubes à enrober anti corrosion
http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/les-etats-unis-favorables-a-la-reouverture-de-la-frontiere-algero-marocaine_15812.html
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MessageSujet: Re: Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat    Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  I_icon_minitimeSam 4 Juin - 13:32

Après son annonce du maintien de la fermeture de la frontière algéro-marocaine ,
Le Maroc répond à Ahmed Ouyahia
Regrettant les déclarations du Premier ministre algérien, dans lesquelles il avait exclu la réouverture des frontières entre les deux pays dans la conjoncture actuelle, Rabat estime qu’il s’agit d’un recours à “des arguments ou à des préalables injustifiés pour maintenir le statu quo”.

Après un silence de quarante-huit heures, le ministère marocain des Affaires étrangères a répondu à Ahmed Ouyahia, à travers un communiqué officiel dans lequel il affirme : “Le Royaume du Maroc, loin de toute considération conjoncturelle ou alibi artificiel, demeure engagé avec force et sincérité, sur la voie d'une véritable normalisation des relations bilatérales, au bénéfice des deux peuples frères, porteurs et acteurs d'une relation bilatérale forte et dense.” Le Maroc a regretté “le recours, une fois de plus, par les autorités algériennes, à des arguments ou à des préalables injustifiés pour maintenir le statu quo, faire reculer l'échéance de la réouverture des frontières entre les deux pays, et perpétuer une situation singulière et exceptionnelle dans le monde, et qui constitue une entrave sérieuse au droit à la libre circulation des populations des deux pays”. Rappelant que lors d'une conférence de presse tenue le 29 mai, le Premier ministre algérien a évoqué les relations bilatérales entre le Maroc et l'Algérie, notamment la question des frontières terrestres fermées, le communiqué a qualifié de “surprenante à plus d'un titre, la déclaration du chef du gouvernement algérien, à la fois sur le fond et le timing, le communiqué rappelle qu'aucun responsable marocain n'a évoqué le rôle de l'Algérie dans la facilitation du recrutement ou du passage des mercenaires vers la Libye”.
La même source souligne que “même si de nombreux membres de l'opposition libyenne et des médias internationaux ont largement évoqué la responsabilité algérienne, les officiels marocains se sont abstenus d'aborder ou d'exploiter ce sujet, de quelque manière que ce soit”.
Quant au rôle joué par l’agence de presse officielle marocaine Maghreb arabe press (MAP), expressément citée par Ahmed Ouyahia, le communiqué indique qu’elle “s'est contentée de rapporter les différentes déclarations, positions et analyses relatives à cette question”. Il est ajouté qu’“à l'instar d'autres agences de presse, chaînes de télévision et sites Internet, la MAP s'est limitée à reprendre des éléments d'information ou des déclarations, en prenant soin, déontologie oblige, de se référer à leurs sources, qu'elles soient politiques, journalistiques et académiques, européennes, africaines ou encore américaine”. À partir de là, la partie marocaine s’interroge “sur le recours ciblé à la seule MAP, sur un sujet abondamment traité à l'international, pour justifier le maintien de frontières fermées avec le Maroc”.
Le communiqué précise que “la remarque vaut tout autant pour l'évocation par le Premier ministre algérien d'une soi-disant agitation du lobby officiel marocain aux États-Unis”. “L’étonnement du Maroc est d'autant plus grand que les relations bilatérales ont connu une évolution prometteuse au cours des derniers mois, à la faveur des échanges de visites ministérielles fructueuses dans plusieurs domaines de coopération, identifiés au demeurant, par la partie algérienne”, insiste le MAE marocain, qui estime qu’“il est légitime de s'interroger sur l'opportunité de relever l'évolution des échanges commerciaux "informels" entre les deux pays, dans le contexte de frontières terrestres fermées.
Ce constat laisse perplexe au regard des risques multiples et trafics en tous genres engendrés par le développement de l'économie informelle, au-delà des pertes fiscales conséquentes pour les deux pays”.


bon et bien moi je suis sur que la frontière va réouvrire pour la bon et simple raison,
c'est que durant mon séjour en algerie je suis allée jusqu'à la frontière marocaine et le point de passage est en cours de rénovation travaux assez important
ainsi que l'autoroute est ouest j'ai roulé sur cette autoroute superbe
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MessageSujet: Maroc-Algérie: la guerre médiatique repousse l'ouverture des frontières   Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  I_icon_minitimeJeu 9 Juin - 14:04

La réouverture de la plus longue frontière fermée du monde n’est pas pour demain. En cause, les joutes médiatiques que se livrent les «frères ennemis du Maghreb» sur le terrain du lobbying diplomatique.
Citation :
«Maghreb United, rêve ou réalité?», s’interrogent souvent nombre d'internautes sur des forums qui appellent à l’amitié des peuples d’Afrique du Nord. La réponse est venue d’Alger: ce sera encore un rêve pour un temps.

Le 29 mai 2011, le Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia a estimé que l'ouverture des frontières terrestres avec le Maroc n'était «pas à l'ordre du jour», accusant le royaume de Mohammed VI de chercher à impliquer son voisin maghrébin dans le conflit libyen.

«Ces derniers temps on observe [...] une agitation du lobby officiel marocain aux Etats-Unis pour vouloir impliquer l'Algérie dans l'envoi de mercenaires en Libye […] Ce genre de choses ne sont pas des facteurs qui aident à l'ouverture de la frontière», a-t-il déclaré, mettant un terme aux rumeurs persistantes sur une réouverture imminente de la plus longue frontière fermée du monde.


«Seules les frontières qui séparent l’Arménie de la Turquie et de l’Azerbaïdjan sont aussi infranchissables que cette ligne de 1.559 kilomètres entre deux pays, l’Algérie et le Maroc, qui ont beaucoup en commun mais se regardent en chiens de faïence», rapportait un reportage d’El País en 2009.

Cette frontière a été fermée en 1994 à la suite d’un attentat islamiste dans un hôtel de Marrakech, que Rabat avait alors imputé aux services secrets algériens. Depuis, les relations exécrables entre les deux pays, notamment à cause du conflit du Sahara Occidental qui oppose le royaume chérifien aux séparatistes du Polisario (soutenus par l’Algérie) ont empêché sa réouverture. Elle est le symbole et surtout l’enjeu de cette crispation qui dure depuis près de quinze ans, mettant à mal la construction tant espérée d’un Maghreb uni et économiquement prospère.

Alger accusée de soutenir Kadhafi

Des signes d’apaisement avaient pourtant été constatés. En visite à Tlemçen le 16 avril dernier, le président Bouteflika avait déclaré:


«Il n’y a pas de problème entre le Maroc et l’Algérie. Le problème du Sahara Occidental est un problème onusien. Le Maroc est un pays voisin et frère.»

Mais un nouveau sujet de discorde est venu anéantir l’espoir de voir se concrétiser sur le terrain ce qui semblait être un début de réchauffement entre les «frères ennemis du Maghreb».

Depuis plusieurs semaines, Alger fait face aux accusations d'envoi de mercenaires du Front Polisario ou d'armement en Libye pour aider le colonel Kadhafi confronté à la rébellion dirigée par le Conseil national de transition (CNT) soutenu militairement par l'Otan depuis la mi-mars. La presse algérienne a toujours accusé les Marocains d'être derrière ces accusations.

C’est une tribune publiée le 16 mai par Edward M. Gabriel, ancien ambassadeur américain au Maroc dans The Hill, la très influente gazette spécialisée dans les affaires liées au Capitole, qui a mis le feu aux poudres:


«Le Polisario défie la coalition des pays de l'Organisation du traité de l'atlantique Nord (Otan) en envoyant ses mercenaires combattre pour le régime Kadhafi dans le but de faire plier l'insurrection libyenne», y affirme Edward M. Gabriel, rappelant que l'Alliance atlantique avait reçu des informations indiquant que le régime libyen «dépense des millions de dollars pour s'offrir les services de militants du Polisario».

Gabriel avait aussi avancé dans son article que les «leaders de l'opposition libyenne accusent l'Algérie de "fermer l'œil" sur les mercenaires qui traversent le territoire algérien pour gagner la Libye», ajoutant qu'un leader du Conseil national de transition «avait assuré que des avions algériens ont été utilisés pour transporter des mercenaires en Libye».

Des points de vue immédiatement relayés par Lincoln Diaz-Balart dans une lettre adressée à ses pairs du Congrès américain (PDF). Cet élu anticastriste de Floride est un inconditionnel du Maroc avec qui il partage une opposition idéologique contre le régime cubain, allié historique de l’Algérie et du Front Polisario.

La réplique de l’Algérie ne s’est pas fait attendre, sous la plume de son lobbyiste Gare Smith du cabinet Foley Hoag LLP. Il y souligne que l’Otan n’a jamais pris en considération les allégations de Edward M. Gabriel et que le Maroc adopte ainsi une position ambivalente concernant sa volonté d’aplanir ses différends avec Alger.

Le «revolving door», une pratique légale et lucrative

Ce n’est pas la première fois que le Maroc et l’Algérie croisent le fer par lobbyistes interposés dans les colonnes de la gazette du Congrès américain. Ces joutes font partie d’une tradition américaine de la communication institutionnelle que l’on désigne outre-Atlantique par l’expression «pay to play» (littéralement «payer pour jouer»).

Le fait de défendre une opinion par la voix de plumes influentes est l’apanage de professionnels du «revolving door», une reconversion officielle et réglementée par le Département de la justice américain et qui permet à d’anciens hauts fonctionnaires de mettre à disposition de clients de marque —Etats ou multinationales— leur vaste réseau d’influence, patiemment constitué tout au long de leur carrière publique.

La plupart de ces spin doctors de choc créent leurs propres officines ou sont enrôlés dans des cabinets spécialisés qui ont pignon sur rue sur la fameuse K Street, une avenue de Washington située à un jet de pierre du Congrès américain. Leurs services se monnayent des millions de dollars. Ces dernières années, le Maroc a souvent eu recours à des firmes comme Cassidy & Associates, Boland & Madigan, Edelman PR Worldwide ou encore Powell-Tate pour défendre ses intérêts à l’international.


Ali Amar
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MessageSujet: Dans le contexte de la pression pour l'ouverture de la frontière entre les deux pays   Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  I_icon_minitimeJeu 7 Juil - 19:43

Paris accueille la déclaration de Mohammed VI de rapprochement avec l'Algérie
Citation :
Accueilli le Paris d'hier, une déclaration du roi du Maroc Mohammed VI pour un rapprochement avec l'Algérie, dans le télégramme envoyé avant-hier au président Bouteflika à l'occasion du 49e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie. Le foreign''We françaises saluent cet effort annonce forte au rapprochement entre l'Algérie et le Maroc, deux pays liés par la France, une relation spéciale et''serré et dense.
Il Romain Nadal, un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères lors d'une conférence de presse hier, en réponse à une question sur les déclarations du roi du Maroc, poursuite that''the de l'impasse dans les relations bilatérales est un obstacle à la construction d'un Maghreb intégré et prospère, et nous espérons que nous espérons atteindre cet objectif, qui est plus important dans le contexte du printemps des peuples arabes. Et titulaire d'un protocole de réaction française message de bienvenue et a envoyé Mohammed VI au Président Bouteflika, un soupçon que Rabat a fait par étape le cadre de la normalisation des relations avec son voisin oriental, en décrivant le Paris que le message du roi with''a rapprochement declaration''of forte, et en retour, donne la réaction française impression étrangères qui the''wish''Alkidorjsa implicite de l'Algérie pour initier la même démarche pour réaliser la convergence entre les deux pays de tourner la page sur les différences.
Bien que le contexte dans lequel il a été dit le Roi Mohammed VI, un''purely''Protocols, donc cela n'a pas empêché des messages de félicitations jamais entre les responsables des deux pays à l'occasion des fêtes nationales et religieuses, même dans la hauteur de l'attitude raidissement entre Rabat et Alger, le ministère français des Affaires étrangères a donné l'impression que Mohammed VI a fait concessions''important''for au profit de la normalisation de la faculté de relations avec l'Algérie, qui ne s'est pas produit n'a pas répondu dans une lettre de félicitations adressée au Président Bouteflika à l'occasion de la célébration du Jour de l'Indépendance de l'Algérie.
également essayé la politique étrangère française liée à la perturbation de la construction de la Union du Maghreb arabe, juste en bas de l'impasse dans les relations bilatérales entre l'Algérie et le Maroc, une quête de Paris à sauter sur la question du Sahara occidental, qui a conduit la position française en faveur du Maroc pour désactiver le règlement juste de permettre au peuple sahraoui d'autodétermination, conformément aux règlements de la légitimité internationale. Je ne comprends pas cet accueil en français seulement dans la boîte de continuer Palais Alaleza de pression pour pousser le gouvernement algérien à surmonter les conditions fixées pour l'ouverture de la frontière avec le Maroc, fermées depuis l'incident de Marrakech en 94, une question considérée par Rabat, l'une des priorités les plus importantes, et frappa pour laquelle toutes les portes des capitales acteurs de la demande mondiale pour l'Algérie à ouvrir ses frontières avec le Maroc voisin
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MessageSujet: Maroc: le roi pour la réouverture de la frontière avec l'Algérie   Au-delà d'une frontière: Alger et Rabat  I_icon_minitimeSam 30 Juil - 20:05

Citation :
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Le roi Mohammed VI du Maroc s'est prononcé samedi pour la réouverture des frontières terrestres avec l'Algérie, fermées depuis 1994 et une normalisation totale des relations entre ces deux voisins du Maghreb.
"Nous tenons à l'amorce d'une nouvelle dynamique ouverte sur le règlement de tous les problèmes en suspens, en prélude à une normalisation totale des relations bilatérales (...) y compris la réouverture des frontières terrestres", a-t-il dit dans un discours du trône.

Et j ajouter: "cette démarche exclut tout immobilisme ou ostracisme incompatible avec les liens de bon voisinage, l'impératif d'intégration maghrébine et avec les attentes de la communauté internationale et de notre espace régional".


El Watan avec AFP



http://www.elwatan.com/actualite/maroc-le-roi-pour-la-reouverture-de-la-frontiere-avec-l-algerie-30-07-2011-134496_109.php
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